Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet

4 mai 2014

ORBES PHOTOS PERSO

DSCN4545

DSCN4561

DSCN4563

DSCN4571

Publicité
Publicité
4 mai 2014

Témoignage de Virginie

Coucou

eh bien moi je me pose des questions depuis un moment.

Ca fait un an que j'ai l'impression que mon arriere grand mère vient me parler dans mes 

09p2y8v2

ves.
ca peut paraitre fou meme moi j'ai l'impression de debloquer.Quand j'ai des doutes et que je demande de l'aide, elle intervient dans mes reves pour me conseiller.Ca me perturbe et je ne sais pas quoi faire avec ca?surtout qu'elle est morte ca fait 24 ans.
Je ne sais pas ce qu'il m'arrive, de fois je me demande si elle me protege !!!
Enfin si quelqu'un peut me dire ce qu'il m'arrive ca serait cool!!!

merci Virginie

4 mai 2014

Mon grand père veille sur moi

93327797

 

 

Bonsoir,

Je suis ravie d'avoir découvert votre site et de pouvoir enfin m'exprimer sans avoir peur d'être prise pour une folle.

Tout a commencé il y a une vingtaine d'années. Pour être précise, au décès de mon grand-père. Je vivais dans sa maison avec Grand-mère qui ne voulait pas affronter la solitude après son décès, et c'est alors que tout a commencé.

Je ne pouvais pas rester seule dans la maison, car j'avais toujours la sensation d'être surveillée. J'entendais des bruits, j'apercevais des ombres et cela me faisait très peur. Puis un jour que je me trouvais seule dans la maison, il m'est apparu et cela a cessé.

Quelques années plus tard, je suis partie vivre chez ma soeur, dans une ville où je ne connaissais personne. Une fois, la nuit, j'ai entendu une voix qui m'appelait par mon surnom, et depuis ce jour-là, c'est reparti.

Une nuit, alors que je dormais, je fus réveillée par une caresse sur le bras. En ouvrant les yeux, je vis trois boules lumineuses au pied du lit, et bizarrement je n'avais pas peur. Bien au contraire, je me sentais bien, et en sécurité. 

Parfois j'aime à croire que ce sont mes grand-parents qui viennent me rendre visite, en compagnie de ma soeur qui est morte à la naissance et que je n'ai pas connue. Je ne sais pas si c'est un don ou autre chose, mais j'ai appris à vivre avec.

 

Laetitia

4 mai 2014

zen je suis

380636_206354812804601_100002902529182_308578_522851055_n

4 mai 2014

<CBIfCarrousel><div

<CBIfCarrousel><div class="carrousel_slider_div"><ul id="carrousel_slider" class="carrousel_slider"><CBCarrousel><li><div class="carrousel_slider_img"><a href="<$BlogItemURL$>" title="<$BlogItemTitle$>"><img src="<$BlogItemCoverURL$>" /></a></div><a href="<$BlogItemURL$>" class="carrousel_slider_caption" title="<$BlogItemTitle$>"><$BlogItemTitle$></a></li></CBCarrousel></ul></div></CBIfCarrousel>

Publicité
Publicité
2 mai 2014

photos perso d ' orbes

36c0bea38b76cac4ea838aa7cfd3fd52

47062_1388965849279_1386084317_30904744_6623753_n

35567_1335677837112_1386084317_30777078_5822238_n

2 mai 2014

photos perso d ' orbes

0d72f6551f2a2f288c8f0f6edefd522b

3c3f8d1d84747cae7dd2ad2b51d82049

19dd0323a96fdd39729a58e63bf73676

2 mai 2014

Voyage dans la quatrième dimension

 

 

Le souvenir de cette expérience que j'eus à l'automne 1934 provoque toujours en moi des frissons d'angoisse. "La Gare" est le nom que je lui ai donnée secrètement, et je me demande ce qu'il me serait arrivé si, éventuellement, je n'en étais pas revenue.

J'étais jeune à l'époque, et je vivais avec l'homme qui allait devenir mon mari. Nous faisions des études de musique, et cet après-midi-là, nous sortions d'un concert. Comme nous avions largement le temps avant d'aller rendre visite à sa famille qui nous avait invités à dîner, nous décidâmes d'aller fouiner dans un magasin de musique qui était juste à côté. Nous empruntâmes l'ascenseur et, une fois dans le magasin, nous nous assîmes pour nous mettre au fait des derniers classements et des sorties littéraires. J'étais en train de feuilleter une revue lorsque Stan, mon fiancé, me toucha du coude en pointant l'horloge; il était temps de partir.

Autant que je me souvienne, nous prîmes de nouveau l'ascenseur. Nous étions tellement serrés les uns contre les autres que je perdis Stan de vue dans la foule. Une fois parvenus, du moins je le croyais, à l'étage principal, je jouai des coudes pour sortir, mais je fus bousculée vers l'intérieur. La porte se referma et nous redescendîmes. Il me semblait entendre mon fiancé m'appeler pendant que l'ascenseur descendait au sous-sol. Finalement, je perçus le bruit sourd et familier qui marquait la limite pour les anciens ascenseurs et la porte s'ouvrit de nouveau. Comme je voulais remonter, je restai à l'intérieur, mais un employé peu aimable ordonna : "Tout le monde descend !"

En sortant de la cage d'ascenseur, je fus surprise de me trouver dans un immense espace, probablement au sous-sol, mais pas celui d'un immeuble à bureaux du centre-ville. Des boîtes et des caisses étaient entassées un peu partout. Des hommes à la peau grêlée et en sueur poussaient des chariots tandis que d'autres conduisaient des petits engins chargés de coffres et de bagages. J'inspectai les lieux du regard et découvris, dans un coin, un grand escalier de fer, apparemment une sortie de secours. Je m'en approchai, et je crus voir la lumière du jour tout en haut, alors je me dépêchai de monter.

Lorsque je me retrouvai en haut, et j'étais bien au-dessus du sous-sol et en plein jour, j'étais absolument sidérée. Aucune trace de l'immeuble que je venais de quitter. Tout ce qui aurait dû s'y trouver avait disparu. Cet endroit ne présentait rien d'anormal, sauf qu'il m'était tout à fait étranger. J'étais au milieu d'une grande gare ferroviaire !

Des foules de voyageurs se pressaient. Il y avait les panneaux habituels : "Accès aux trains", "Salle d'attente", "Buffet", "Billets". J'étais tellement fascinée par cet environnement que je faillis renverser une pauvre femme. Je m'excusai, mais elle ne m'avait même pas remarquée. Il n'y avait rien qui indiquait qu'un train arrivait ou partait, aucun horaire. J'étais curieuse, et c'est peu dire, de savoir où j'étais.

A cet instant, la voix d'un annonceur s'éleva au-dessus du brouhaha pour égrener une longue liste de destinations. Je dois avouer que j'ai toujours eu du mal à comprendre ce que disaient les annonceurs des trains, et je ne saisis pas davantage un mot de son message. En me promenant de-ci de-là, désorientée, je finis par repérer le bureau d'accueil. Il y avait une longue queue et je me plaçai derrière les autres. Le fait de devoir demander où j'étais me faisait me sentir stupide, mais lorsque je me trouvai devant l'employée et lui posai ma question, elle ne sembla aucunement se rendre compte de ma présence. La coupe était pleine et je me dépêchai de partir.

Je marchai le long du mur jusqu'à ce que je voie la pancarte "Accès à la 7e rue" et je sortis à l'air libre. J'ignorais toujours où j'étais. C'était une belle journée, avec un ciel bleu sans nuages, et on aurait pu se croire au milieu de l'été si les feuilles des grands arbres qui longeaient l'avenue n'avaient déjà pris une teinte dorée, écarlate ou orangée. Un nouvel immeuble de brique rouge se dressait en face de la gare. Il ressemblait vaguement à une église. Il y avait du monde dans la rue; les gens que je croisais avaient l'air de bien se porter, ils paraissaient aimables et avaient l'air content. Je souriais à quelques passants, mais je n'eus pour toute réponse que des regards inexpressifs. J'entendais des voix amicales, auxquelles je ne comprenais rien. Cet endroit paraissait tellement normal que c'est tout juste si j'étais effrayée. Mais qui, dans une telle situation, ne serait pas confus et perplexe ?

Me promenant sans but le long des rues, j'aperçus un garçon blond à quelques mètres de moi, probablement un adolescent; il était planté au milieu du trottoir et regardait tout autour de lui. M'approchant de lui, je fis un pas de côté pour pouvoir passer, et juste à ce moment il me fit un sourire éclatant, tendit la main et me toucha le bras, comme pour s'assurer qu'il ne rêvait pas. Je m'arrêtai et lui rendis son sourire.

Il dit en hésitant : "Je suppose qu'ils vous ont laissée au mauvais arrêt, vous aussi !"

Je compris immédiatement. Quoique fantastique, il nous était arrivé la même chose. Notre mésaventure commune avait créé un lien. Nous marchâmes côte à côte le long de cette grande avenue.

- "C'est étrange", dit-il. "J'étais chez moi, en train de jouer au tennis, quand je suis allé au vestiaire pour changer de chaussures. C'est en sortant que je me suis retrouvé dans cette gare."

- "Où est-ce que tu habites ?" demandai-je.

- Eh bien, à Lincoln, dans le Nebraska, bien sûr.

Il avait l'air surpris.

- "Moi, avant ce voyage, j'étais à Chicago !" lui dis-je.

Nous marchions toujours, partageant le peu que nous savions sur le voyage dans le temps, les téléportations, et autres dimensions spatiales. Mais aucun de nous deux ne comprenait pas grand-chose à tout ça et nous ne fûmes pas plus avancés.

Au bout d'un moment, la rue commença à se vider. La route se prolongeait sur une colline. Nous fûmes bientôt hors de la ville. Nous étions en pleine nature et au devant de nous, s'étirait un lac, ou un océan, à l'eau d'un bleu profond. C'était une vision rafraîchissante. Nous descendîmes la colline en courant pour atteindre une plage sablonneuse où nous nous adossâmes à un gros rocher pour reprendre haleine. L'endroit était des plus agréables, chaud et frais. Le soleil, qui était à l'horizon, pointait juste au-dessus de l'eau. Nous en déduisîmes que c'était le côté ouest.

Tandis que nous observions le soleil qui baissait, nous aperçûmes un large banc de sable pas très loin, d'où il me semblait entendre des voix. Soudain, j'entendis quelqu'un m'appeler, et comme je m'habituais à regarder avec le soleil dans les yeux, je reconnus, à ma grande surprise, la soeur de mon fiancé parmi les filles. Avec les autres, elle ne cessait d'agiter la main et de crier. Mon nouvel ami sauta d'excitation. "Mais c'est merveilleux !" dit-il. "Peut-être qu'ils représentent une sorte de connection ou un lien." Il chercha les mots justes et, tout en causant, il se débarrassa de ses vêtements à l'exception de son maillot de tennis. "Je vais aller là-bas", s'exclama-t-il. "Ils nous voient, ils nous connaissent ! C'est pas loin, et je peux y être en quelques minutes." Il plongea dans les vagues et se mit à nager. Surexcitée, je le regardai s'éloigner. Il nous appelait de temps en temps, tout en continuant de nager. Les silhouettes étaient toujours visibles sur le banc de sable, de même que j'entendais leurs voix. Mais alors qu'il nageait, il se passa une chose curieuse. Malgré ses efforts, il ne pouvait s'approcher du rivage, qui semblait s'éloigner progressivement. A la fin il changea de direction et revint à son point de départ, où il se laissa tomber sur le sable, complètement découragé. Il n'y avait, je crois, rien à dire; lorsque nous regardâmes à nouveau cette bande de sable, elle avait disparu. Il n'y avait pas de brouillard, pas de brume épaisse, et alors que le soleil était plutôt bas dans le ciel, il faisait encore très clair. La bande de sable avait tout bonnement disparu.

Je n'ai aucune idée de ce que nous aurions fait ensuite, car une obscurité soudaine m'enveloppa. J'avais l'impression de flotter dans l'espace et tout de suite après j'étais à nouveau assise sur le tabouret du magasin de musique ! La même revue était étalée devant moi. Une horloge sonnait et les employés remettaient de l'ordre sur les présentoirs, en vue de la fermeture. Je cherchai mon fiancé du regard, sûre de le trouver là, mais ne le vis pas. Je décidai que la meilleure chose à faire était de me rendre directement chez lui. En descendant les escaliers cette fois !

Lorsque j'arrivai à destination, ce fut mon fiancé qui ouvrit la porte. Il faut dire qu'il avait l'air soulagé. Il dit qu'il m'avait perdue dans l'ascenseur. Après en être sorti pour se retrouver à l'étage principal, il avait été incapable de me situer. Croyant que je m'étais arrêtée à un autre étage, il avait attendu un moment avant de se décider, finalement, à rentrer chez lui. Les membres de sa famille étaient déjà dans la salle à manger et nous les rejoignîmes sans discuter. Lorsque j'entrai, je ne fus pas peu surprise de voir la soeur de Stan en compagnie des mêmes personnes qui se trouvaient sur le banc de sable.

Elle dit en souriant : "Nous vous avons vus en ville mais vous étiez tellement absorbés l'un l'autre que vous ne nous avez même pas entendus !"

 

 

 

jw4rhju

2 mai 2014

VOYAGE DANS LE TEMPS

 

En août 1964, mon amie V. Stephens et moi passions nos vacances à Bruges, en Belgique. Un jour où nous faisions le tour de la ville en calèche, nous décidâmes de nous arrêter pour visiter, entre autres, l'Hospice pour les personnes âgées.

Nous nous retrouvâmes dans un square entouré de cottages sur trois côtés avec un carré de terre non cultivée au centre. Des dames âgées étaient assises tout près à de petites tables et faisaient de la dentelle. Une dame m'invita dans son cottage et m'offrit de l'orange pressée. Mon amie acheta un mouchoir bordé de dentelle. Nous visitâmes la chapelle qui était située du côté gauche, quelques mètres plus loin, puis nous fîmes nos adieux et partîmes.

Nous restâmes une semaine à Bruges, et avant de partir, nous décidâmes de faire un deuxième tour en calèche. Nous demandâmes au chauffeur de s'arrêter devant le même hospice. Il nous conduisit à l'allée qui y menait et nous nous retrouvâmes de nouveau dans le square.

Mais le décor était différent cette fois. Il n'y avait personne. Il faisait chaud; néanmoins nous ne vîmes pas les dentelières. L'étendue de terrain non cultivé était couverte d'un tapis de fleurs et de légumes arrivés à maturité. Nous regardions partout sans voir la chapelle. Nous finîmes par l'apercevoir au bout de l'immeuble.

Nous étions pourtant sûres qu'il y avait une chapelle sur la gauche, au milieu de la rangée de cottages. Mais le gardien nous répondit : "Oui, c'est vrai qu'il y en avait une. Elle a été déplacée."

Nous retournâmes sur nos pas, abasourdies. Qu'étaient devenues ces personnes ? Et les dentelières ? Pourquoi est-ce que toutes les portes étaient fermées alors que, la première fois, chaque porte était si chaleureusement ouverte ? Par quel miracle le terrain dégagé, au centre, avait-il été cultivé alors qu'une semaine avant, rien n'y poussait ? De quelle façon s'y était-on pris pour raser la chapelle, et la rebâtir en l'espace de quelques jours ? Nous croyions au début qu'il devait y avoir deux maisons de retraite, bien distinctes. Mais il était peu probable que deux hospices aient été construits à peu de choses près sur le même modèle le long de la même route, et c'était justement pour visiter le même hospice que nous avions demandé au cocher de s'arrêter.

La seule autre explication possible, aussi incroyable soit-elle, était que d'une certaine façon, nous avions fait un bond dans le temps au cours de la première visite et avions vu les dentelières qui avaient vécu là autrefois. Nous étions revenues à une époque où la chapelle y était encore et la portion de terrain pas encore cultivée.

Les sceptiques diront que nous avons rêvé, sauf que mon amie a toujours le mouchoir qu'elle a acheté ce jour-là, et c'est une preuve suffisante.

465fd7b6a3fe0bcbfd0c053c7260f043

2 mai 2014

Des fantômes sur le mur

premiere_impression_fantome

 

Lorsque ma soeur distingua l'image d'une femme sur le mur de la salle à manger en mars dernier, son fils lui fit remarquer qu'elle lui ressemblait. La nuit venue, elle se rendit compte que son fils avait raison, et elle rêva qu'elle était prisonnière à l'intérieur du mur à l'endroit même où l'on voyait cette image. C'était comme si une grande force l'empêchait de bouger.

Au matin, elle examina de nouveau cette image. Puis, sur un coup de tête, elle décida d'inspecter la totalité du mur. Il y avait un miroir à gauche, et elle décida de l'enlever. Elle put voir alors qu'une autre image se détachait nettement, infiniment plus grande que la première. Elle représentait un démon. Ce démon avait une tête d'animal, qui tenait à la fois du lapin et de l'âne. Mais ses épaules et la partie supérieure de son corps - c'était tout - ressemblaient à celle d'un homme gigantesque. La tête n'avait qu'un oeil; un oeil très mauvais, et qui paraissait vivant. Une semaine après cette découverte, son fils de dix-huit ans découvrit que treize ans auparavant, il avait été abusé par son beau-père.

Le 20 mars, ma soeur m'invita chez elle afin que je voie par moi-même. Sur ma proposition, elle aspergea le mur d'eau bénite. Puis elle trempa des serviettes en papier dans cette eau et récura le mur. Et nous restions là, à observer, pendant que le papier peint, de couleur ocre et fanée, était en train de sécher. Les images étaient toujours là, et cette fois, l'oeil du démon nous fusillait du regard.

Ces images sont plus sombres que le reste du papier peint et sont délimitées par une ligne extérieure jaune pâle. Par trois fois, ma soeur avait gratté le mur avec de l'eau et du savon, et à chaque fois elles étaient revenues, moins prononcées mais toujours visibles. L'oeil mauvais du démon, cependant, était moins net.

Au dernier lavage, toutefois, deux paires d'yeux supplémentaires jaillirent de la tête du démon, deux yeux tels ceux d'un humain, les autres tels ceux d'un animal, rapprochés, tristes et à l'affût, et plutôt méchants.

Que signifiaient ces représentations ? L'image du beau-père dans une attitude obscène est apparue au plafond de sa chambre. Nous sommes sûres que ces dessins ont un rapport avec ce qui est arrivé à mon neveu. Ma soeur est allée voir la police, mais on lui a déclaré que le crime resterait impuni après toutes ces années de silence. Elle ne peut pas déménager parce qu'elle est malade. La vengeance et la justice doivent rester entre les mains du Tout-Puissant.

 

 

Publicité
Publicité
<< < 10 20 30 40 50 51 52 53 54 55 56
NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet
Publicité
Archives
NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 141 227
Pages

3baed4a5e75f74c1a754d323360ab247

Publicité