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NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet

22 octobre 2015

Chemtraills Danger

DES TRACES INQUIETANTES DANS LE CIEL: Les CHEMTRAILS 

Si vous avez largement plus de trente ans, vous avez certainement le souvenir des "bangs" qui trahissaient le passage d'un avion supersonique en ébranlant les carreaux des vitres. Je dis bien le souvenir car nous ne les entendons plus depuis la fin des années 70. Est-ce à dire qu'il n'y a plus d'avions passant le "mur du son" ou qu'une technique a rendu le phénomène confortable à nos oreilles ? A l'évidence ni l'un ni l'autre, mais plus certainement une interdiction faite aux avions à réaction de franchir le mur du son en dessous d'une altitude à partir de laquelle le "bang" n'est plus audible du sol.

Pourquoi ce rappel aux souvenirs d'enfance ? Parce qu'ils me sont revenus à moi-même en mémoire de manière fortuite un jour de l'été 2002 lors d'une ballade familiale dans les Alpes. Dans le ciel bleu sans nuages au-dessus des sommets blancs, mes yeux ont été attirés par la petite traînée blanche qui accompagnait les fameux avions supersoniques de mon enfance. J'attendais donc le prétexte de l'inévitable bang sonore pour expliquer à mon fils le phénomène physique. Rien n'est venu. Par contre, la traînée blanche refusait de se dissiper et s'élargissait à vue d'œil. Etait-ce comme cela "avant", quand j'étais petit ? Pas du tout.

L'incohérence du phénomène bousculait mes rudiments scolaires de physique pourtant en jachère sauvage, alimentait mon usine personnelle à bon sens et m'a fait douter de son origine naturelle. Physiquement rien n'expliquait naturellement la durée, la forme et l'évolution de cette traînée. Les trois facteurs physiques qui conditionnent la production de la condensation d'eau à la sortie des turbines - l'humidité ambiante (supérieure à 70%), la très basse température (inférieure à - 25°) et l'altitude (supérieure à 9.000m) - étaient bien présents mais la traînée qui devait disparaître en 2/3 minutes maximum, non seulement ne s'évaporait pas mais s'épaississait.
D'autres observations le même jour avec des avions évoluant à des altitudes beaucoup plus basses et laissant les mêmes traînées se transformant en nuages ont remplacé le doute par la certitude d'avoir affaire à un phénomène physique d'origine chimique comme la présence d'un adjuvant dans le carburant.

J'ai depuis fait des recherches, notamment sur le Net où d'autres internautes à travers le monde ont fait le même constat que moi. Cette recherche n'a pas été vaine, loin de là. De nombreux sites, mais aussi quelques livres (hélas en anglais) rendent bien compte d'innombrables traînées identiques et quotidiennes partout dans le monde, desexplications officielles qui ne collent pas, des hypothèses rationnelles, des recherches sur les compositions chimiques des retombées de ces traînées, voire même des développements sur l'usage et les buts supposés de ce qui s'apparente à des épandages.

Ce phénomène qui a été baptisé chemtrails - abréviation de chemical trails (traînées chimiques) - en comparaison avec les comtrails (traînées de condensation), est parfaitement établi, présent sur tous les continents et observabletous les jours dans toutes les régions de France. Un certain nombre de données constantes sont établies:
- la fréquence de ces traînées est très forte (facile à constater chez nous ou l'activité est journalière et volumineuse).
- leur quantité est de plus en plus importante (également facile à constater).
- les couloirs aériens empruntés par les avions qui les produisent ne sont pas toujours ceux des lignes aériennes commerciales.
- les "témoins" involontaires (pilotes, mécaniciens, militaires, scientifiques, etc…) subissent un tas de pressions déguisées ou pas (dont on imagine facilement les formes).
- des rapports d'agences militaires, gouvernementales et scientifiques trahissent le fait qu'il existe des programmes spécifiques consistant dans des épandages de produits à des fins militaires (neutralisations des populations ennemies, contrôle climatique, etc…).
- leur composition est loin de l'eau pure ! Sur ce point, l'analyse des dépôts au sol issus des retombées de ces nuages artificiels est édifiante comme l'indique des articles documentés (par exemple: Baryum test are positive TraductionSub-micron particulates isolated TraductionExtraordinary biological observations TraductionBiologicals reaffirmed Traduction).

Toutes ces informations sont étayées par de nombreuses références et des recoupements que ne dissipent ou infirment aucune des rares explications officielles des autorités politiques ou militaires comme la composition du carburant. La logique est implacable.

Pour en savoir plus

Le livre en français Chemtrails, les tracés de la mort est une très bonne présentation et compilation des informations sur le sujet en même temps qu'une judicieuse mise en perspective des motifs et des buts probables de ces épandages. De plus, il contient quelques recettes pour se prémunir des effets de ces pulvérisations ou en tous cas en diminuer l'impact sur la santé.

Par ailleurs, en tapant chemtrails dans les moteurs de recherche Internet, vous accéderez à une liste impressionnante de pages sur le sujet. Pour gagner du temps, voici une liste des sites dont la visite est incontournable, même si certains sont en anglais (utilisez la traduction de page du traducteur Google par exemple):
Chemtrails-France (français, le meilleur site en français sur le sujet, bourré d'images, de démonstrations et d'explications),
Carnicom (anglais, une référence documentaire exceptionnelle),
EvolutionQuebec (français, la rubrique chemtrails est une très bonne présentation)
ChemtrailCentral (anglais, beaucoup d'informations),
Rense.com (anglais, une mine sur les chemtrails en Amérique),
Chemtrails-Suisse.ch (français, des photos et des documents notamment la réponse des autorités suisses).
Willthomas.net (anglais, l'un des premiers à avoir dénoncé les chemtrails).

Logique prospective

A la simple observation du ciel, vous comprendrez à votre tour, qu'il ne s'agit pas d'un phénomène naturel. Et, s'il n'est pas naturel, c'est donc qu'il provient d'une cause artificielle ou qu'on le fabrique à dessein. Ceci est un constat qui pose la question de l'usage et des buts de ces pulvérisations tout comme il fait naître des interrogations sur la potentialité que leur composition puisse être porteuse de germes affectant mortellement la flore, la faune et l'humain.

Comme la réalité dépasse la fiction, encore plus aujourd'hui qu'hier et que par ailleurs la sophistication et l'emploi des moyens de contrôle, de surveillance et de manipulation forment la trame du noir destin que des puissances dessinent actuellement pour l'humanité, on peut envisager tous les usages que permettent les techniques d'épandages, même les plus fous et les plus sordides. De la manipulation climatique à celle des ondes en passant par la dispersion de virus et le besoin de couvrir la planète d'un voile, la palette est assez large pour servir n'importe lequel des va-t'en guerre ou des croisés qui tiennent les reines des principaux pays et dont le dénominateur commun semble être de considérer que les deux tiers de l'humanité sont une gêne pour le tiers restant.

Quelques exemples de photos personnelles qui infirment l'explication physique naturelle de ces phénomènes.(J'ajouterais d'autres photos originales au grès de mes constats)

La traînée s'épaissie rapidement puis "s'effiloche" sous l'effet des vents.

Chemtrail: 12 juillet 2007 - 14:42 - Sainte Suzanne (Mayenne) Chemtrail: 12 juillet 2007 - 14:43 - Sainte Suzanne (Mayenne)

Photo gauche - Ici on voit une traînée derrière un avion qui vient de passer et la brume crée par un précédent "épandage" poussé par le vent.
Photo droite - Deux types d'évolution d'une traînée.

Des ratés dans la pulvérisation ou une mauvaise coordination dans le changement de réservoirs ?

Chemtrail: 12 juillet 2007 - 14:41 - Sainte Suzanne (Mayenne) Chemtrail: 12 juillet 2007 - 14:42 - Sainte Suzanne (Mayenne)

Photo gauche - Impossible d'expliquer cette interruption dans la traînée par des raisons de pure physiques. Il semble plutôt que la buse d'éjection a eu des ratés à moins que ce ne soit l'interruption due à la "bascule" entre deux réservoirs. Les "écharpes" qui croisent la traînée proviennent d'un épandage d'avion antérieur de 15 minutes. 
Photo droite - Le même phénomène au même endroit, le même jour et à la même heure mais dans la direction opposée.

Chemtrail: 23 février 2008 - 14:10 - Bourges (Cher) Chemtrail: 23 février 2008 - 14:16 - Bourges (Cher)Chemtrail: 23 février 2008 - 14:20 - Bourges (Cher)

Evolution sur 9 minutes d'une pulvérisation à basse altitude au-dessus de Bourges (18). L'interruption de pulvérisation est particulièrement flagrante. Plus rien à voir avec un phénomène physique naturel.

Combinaison entre des épandages parallèles et des épandages croisés. Le hasard fait bien les choses... quand on l'aide beaucoup.

Chemtrail: 2 mars 21008 - 18:06 Saint-Orens (Hte Garonne)

Sur la gauche les 4 traînées à basse altitude, parallèles et simultanées, se transforment rapidement en formation nuageuse poussée par un vent d'Est vers les 4 autres sur la droite, de plus haute altitude, qui se croisent en un point central à la verticale de Toulouse (31).

Combinaison parfaite de tracés simultanés en croix. Toujours du pur hasard... comme d'habitude.

Chemtrail: 17 juillet 21010 - 13:11 Port-Haliguen - Quiberon (Morbihan)

La photo a été prise de Port-Haliguen en direction Est-Sud-Est, environ 10 minutes après le passage de 3 avions qui se sont croisés au point central avec moins d'une minute d'écart entre-eux et à la même altitude, Le point d'intersection se situe à peu près à la verticale des îles de Houat et d'Hoëdic au large de Quiberon. L'ensemble s'est rapidement transformé en masse nuageuse qui a couvert la Baie de Quiberon et s'est déplacé lentement vers la Vendée.

Paul-Vincent PAQUET - © Avril 2008 et Août 2010
Contact

NB: Merci de signaler les liens inactifs. Une copie PDF de ceux-ci vous sera adressée.



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21 octobre 2015

5 ieme dimension info news

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20 octobre 2015

maison hantée

A Hem, une petite ville dans le Nord, existerait une maison hantée ...

Les premiers propriétaires de la maison avaient un enfant, qu'ils ont retrouvé mort dans la maison sans explication, après ce décès ils ont préféré revendre la maison. Mais les prochains propriétaires ont étés victimes de phénomènes (étranges bruits de pas, pleurs et rires d'enfants...) et ont préférés quitter la maison. Un autre propriétaire s'est suicidé. Aucun locataire n'est resté plus d'un mois ...
La maison est en chantier depuis plus quinze ans mais n'arrive pas a s'achever car beaucoup sont morts.
La ville a tentée de l'abattre mais sans succès car les bulldozers sont bizarrement tombés en panne.
Il sort régulièrement de la fumé du toi, sans raison apparente ! Il y a un berger allemand qui surveille la maison mais avant il y en avait quatre. Ils passaient leur temps à aboyer devant grille mais ils sont morts ... et un jour la police a laissé un chien dans la maison toute une nuit et le lendemain ils l'ont retrouvé mort en sang ...


Deux témoignages

"De passage aux alentours de Villeneuve d'Ascq, j'ai eu l'occasion d'aller voir d'un peu plus près cette maison. 
Nous étions deux. Rien à signaler cette fois, sauf que tout coïncidait parfaitement avec ce que j'avais pu lire: des fleurs qui n'étaient pas du tout de saison dans le jardin, le chien et son regard si inquiétant, aboyant pendant quelquesminutes puis se calmant, mais pas defumée, pas d'ombre, pas de bruit...
Notre visite suivante fut plus intéressante.
Nous étions cinq, cette nuit du 21septembre vers minuit trente. [...] Nous avançons en direction de la maison, du côté droit de la route, lentement. Nous étions à environ cinquante mètres de
la maison lorsque Thierry et Claudine se mettent à se poser des questions à propos d'une lueur orange semblant provenir de la fenêtre du côté, à l'étage.
Tout le monde croit à un reflet d'une des lumières de la rue, mais au fur et à mesure que nous avançons la lumière reste à la fenêtre, c'est donc bien de là qu'elle vient et ce n'est pas un reflet.
C'est à ce moment qu'une autre lumière s'est braquée sur nous, également à l'étage mais du côté de la rue. Une espèce de lampe de poche de taille moyenne, assez puissante, droit en notre
direction. C'est alors que des voix se sont faîtes entendre. Des voix masculines, au moins deux personnes, d'âge indéterminable, qui nous on abreuvé d'injures.
Il y avait donc des gens dans cette maison..."


"La nuit de samedi à dimanche vers 4h du matin il y a de cela environ 3 ou 4 semaines... Après une petite soirée entre amis, nous avons décidé d'aller sur les lieux de cette maison dite hantée
[...] 
Nous étions deux voitures [...]
Nous nous sommes arrêtés juste devant. Un ami qui était dans la voiture devant est descendu et puis est venu à ma fenêtre [...] on a commencé à parler tranquillement mais le chien nous a surpris en aboyant comme un fou et en sautant sur la grille... Mon ami est donc retourné en vitesse jusqu'à sa voiture et nous nous sommes éloignés rapidement... Garés un peu plus loin il revient à ma fenêtre [...] on décide de repasser devant.[...] à ce moment-là, rien a signalerà part la cheminée qui fumait alors que quelques instants avant elle ne fumait pas [...] On passe donc une nouvelle fois devant la maison, rien du tout... On repasse encore et là... Une lampe nous fixe du premier étage, fenêtre de droite...
On décide de faire demi-tour plus loin, on repasse devant... Plus rien en vue... A part, bien sûr, le chien qui aboyait sans cesse jusqu'à notre départ... On repasse une nouvelle fois et là... La lampe est entre deux barreaux de la grille... Le chien n'aboie plus... Nous n'apercevons
pas la personne qui tient la lampe... On repasse encore, [...] et là plus rien, le chien n'aboie plus, plus de lampe braquée en permanence sur nous mais je crois apercevoir quelqu'un caché dans les haies à la droite de la grille... On se gare un peu plus loin... Mon ami vient à ma fenêtre, on parle tranquillement et on se demande si ce serait sérieux de repasser une dernière fois... Nous étions dans la bonne direction pour reprendre la voie rapide...
On parle, on parle... Et d'un coup, mon ami recourt à sa voiture en criant «Oh p*****, il a tiré!!» Il retourne à sa voiture et entre temps j'entends un deuxième coup de feu... On décide de partir, cela devient trop dangereux..."

 

19 octobre 2015

Glande pinéale

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18 octobre 2015

Halloween

 
 
Rebaptisée « Halloween » après que le pape Grégoire IV eût introduit en France, en 837, la Toussaint fixée au 1er novembre, la fête celtique de Samainexistait voici plus de 2500 ans et se déroulait tous les 31 octobre : adoptée par les Gaulois, elle marquait pour les peuples celtes la fin de l’été, le début d’une nouvelle année, et constituait un moment privilégié de rencontre entre vivants et morts. D’origines distinctes, la « fête de tous les saints » et la « fête de la nouvelle année celtique » ne doivent pas être confondues avec une troisième, le Jour des morts fixé dès 1048 au 2 novembre.

Le culte des morts est aussi ancien que la race humaine. Si haut qu’on remonte dans l’histoire, on le trouve déjà établi au cœur de l’homme : bien avant qu’il y eût des philosophes, les générations primitives du globe envisageaient la mort non comme une dissolution de l’être, mais comme un simple changement d’existence.

Sans doute, ces générations primitives ne croyaient pas que l’âme se dégageait de sa dépouille charnelle pour entrer dans une demeure céleste ; elles ne croyaient pas davantage qu’après s’être échappée d’un corps elle allait en ranimer un autre. Elles croyaient que l’âme du mort restait dans le voisinage des vivants et poursuivait à côté d’eux une existence souterraine et mystérieuse. Et c’est pourquoi, à la fin de la cérémonie funèbre, elles l’appelaient trois fois par son nom, trois fois lui souhaitaient de se bien porter, trois fois ajoutaient : « Que la terre te soit légère ! » L’expression a passé jusqu’à nous, comme aussi la coutume du Ci-gît ou du Ici repose qu’on inscrivait sur les monuments funéraires, et que nous continuons d’inscrire sur les tombes de nos morts.

Consultation d'un druide
Consultation d’un druide

La résurrection, croyance adoptée dès l’Antiquité
La croyance à la résurrection des morts est générale dans l’Antiquité. Elle n’est pas une invention des druides, comme on pourrait le conclure à la lecture de César, Méla et Lucain : « Les druides, raconte César, veulent surtout persuader que les âmes ne meurent point, mais que des uns elles passent à d’autres après la mort ; ils pensent que c’est par cette croyance que principalement on excite le courage en ôtant aux hommes la crainte de la mort ». Quant à Méla, il affirme que « des doctrines enseignées par les druides à l’aristocratie, une seule s’est répandue dans le peuple, elle a pour objet de rendre les Gaulois plus braves à la guerre ; cette doctrine est que les âmes sont éternelles et qu’il y a une seconde vie chez les morts ». S’adressant aux druides, Lucain dit que « les ombres ne vont pas au séjour silencieux de l’Erèbe, ni dans les pâles royaumes du profond Dispater ; le même esprit gouverne des membres dans un autre monde ; si vous savez ce que vous enseignez par vos chants, la mort est le milieu d’une longue vie ». Cette doctrine est en fait une tradition antérieure au druidisme.

Un aspect presque universel dans le monde antique est la nécessité d’une barque pour arriver au séjour des morts, connue dans la littérature la plus ancienne de l’Inde. On la trouve dans les textes scandinaves, et même en Egypte. Dans son Histoire ancienne des peuples de l’Orient classique, Maspero rapporte que montée dans sa barque, l’âme du mort « pénétrait mystérieusement par la fente dans la mer occidentale, inaccessible aux vivants, et attendait la venue quotidienne du soleil mourant (...) La barque de ce dieu (...) s’arrêtait un moment aux frontières du jour ; les âmes instruites en profitaient pour se faire reconnaître et recevoir à bord. Une fois admises, elles prenaient part à la manœuvre et aux batailles contre les dieux ennemis ; mais elles n’avaient pas toutes le courage ou l’équipement nécessaires pour résister aux périls et aux terreurs du voyage ; beaucoup s’arrêtaient dans les régions qu’elles traversaient ».

La situation de cet autre monde varie suivant la position géographique des divers peuples celtiques. Dans La Légende de la mort chez les Bretons armoricains Le Braz remarque que les gens du continent le plaçaient volontiers dans les îles. Une tradition fixée par écrit au VIe siècle par Procope rapporte que les habitants du pays situé en face de la Grande-Bretagne avaient pour charge de conduire les âmes des morts du continent dans l’île.

Au milieu de la nuit, ils entendent frapper à leur porte, et une voix les appelle tout bas. Alors ils se rendent au rivage sans savoir quelle force les y entraîne. Ils y trouvent des barques qui semblent vides, mais qui sont tellement chargées des âmes des morts que leur bordage s’élève à peine au-dessus des flots. En moins d’une heure, ils sont arrivés au terme de leur voyage alors que d’ordinaire il leur faut une journée pour s’y rendre. Là, dans l’île des Bretons, ils ne voient personne, mais ils entendent une voix qui dénombre les passagers en les appelant chacun par leur nom.

Monument celtique : croix de la Montagne de la Justice, route d'Auray à Carnac
Monument celtique : croix de la Montagne
de la Justice, route d’Auray à Carnac

Ce n’est que d’après la littérature épique de l’Irlande que l’on peut se faire une idée de l’Elysée rêvé par les Celtes, pays merveilleux que l’on atteignait en s’embarquant sur une barque de verre au-delà de la mer. On apercevait une grande tour transparente aux contours indécis ; dans les ouvertures des créneaux apparaissaient des formes qui ressemblaient à des hommes. Quiconque essayait d’aborder au pied de la tour était emporté par les flots de la mer. Au delà de la tour s’étendaient des plaines fertiles plantées d’arbres étranges. Quelques-uns avaient des branches d’argent auxquelles pendaient des pommes d’or. Quand on heurtait ces pommes les unes contre les autres, elles produisaient un son si harmonieux qu’on ne pouvait l’entendre sans oublier tous ses maux. Au pied des arbres coulaient des ruisseaux de vin et d’hydromel. La pluie qui rafraîchissait la terre était de bière. Les porcs qui paissaient dans la plaine renaissaient, une fois mangés, pour de nouveaux festins. Partout une agréable musique flattait l’oreille et ravissait l’âme par ses douces mélodies.

C’était bien la vie que le Celte avait pu rêver ici-bas, Toujours jeune, toujours beau, couronné de fleurs, il passait ses jours dans de longs festins où la bière ne cessait de couler et où la viande de porc ne manquait pas. Jamais il ne s’élevait de contestations pour savoir à qui devait revenir le meilleur morceau. Les combats étaient au nombre des plaisirs du peuple des morts ; les guerriers étaient armés d’armes éclatantes ; ils brillaient de l’éclat de la jeunesse ; les batailles étaient plus acharnées et plus terribles que chez les vivants et des fleuves de sang coulaient dans la Grande Plaine. Ainsi le Celte retrouvait dans l’autre vie tout ce qu’il avait aimé sur la terre, la musique, la bonne chère et la guerre.

Cette croyance dans un prolongement de la vie a reçu des rationalistes diverses explications. Et les meilleures, s’il faut dire, ne sont guère satisfaisantes. C’est ainsi que, d’après Herbert Spencer, l’ombre mouvante des objets, l’image humaine réfléchie par les eaux, surtout les fantômes évoqués dans le rêve et l’hallucination durent suggérer aux premiers hommes la conception d’un « double », d’un corps subtil, plus ou moins séparable du corps mortel, d’un simulacre survivant à la mort et auquel on donna postérieurement le nom d’âme.

De cette croyance primitive serait dérivée la nécessité de la sépulture. Pour que l’âme se fixât dans sa nouvelle demeure, il fallait que le corps, auquel elle restait attachée, fût recouvert de terre. L’âme qui n’avait pas son tombeau n’avait pas de domicile. Elle était errante et misérable, et c’est elle qui, pour punir les vivants de ne pas lui avoir donné le repos auquel elle aspirait, les effrayait par des apparitions lugubres.

Mais la sépulture ne suffisait point. Et les morts avaient encore d’autres exigences. Si près des vivants, ils ne voulaient pas être oubliés d’eux ; ils requéraient des hommages, des soins particuliers. Volontaires d’abord, ces soins devinrent rapidement obligatoires, prirent la forme de rites. Ainsi se serait établi le culte des morts. Il y avait un jour de l’année surtout qui était consacré chez les anciens à ce culte.

Vivants et morts cohabitent le premier jour d’automne
Avant l’ère chrétienne, les populations celtes qui peuplaient l’Irlande, la Grande-Bretagne, le nord et l’ouest de la Gaule, célébraient le Samain ou Sahmain à la fin du mois d’octobre. Les tribus irlandaises vivaient normalement dispersées, et les sanctuaires étaient en même temps des champs de foire sans rien qui impliquât un culte permanent. La population se réunissait au centre politique et religieux des tribus (lieu où sont les tombeaux des ancêtres) et aux dates de fêtes. Il y en avait quatre principales : le 1er novembre, Samhain, marque la fin de l’été (Samos) et probablement le début de l’année. Six mois plus tard, le 1er mai, au commencement de l’été (cet-saman), tombe la fête de Beltene, ou du feu (tein) de Bel ou Bile. Entre les deux se placent à trois mois d’intervalle les fêtes de Lugnasad (mariage de Lug) le 1er août, et celle de Oimele ou Imbale le 1er février.

Ces quatre fêtes déterminaient dans l’année quatre saisons de trois mois ou quatre-vingt-cinq jours, qui paraissent avoir été coupées par d’autres fêtes les séparant en deux périodes de quarante-cinq jours chacune. Le souvenir de ces dernières n’est rappelé que par des fêtes de quelques grands saints irlandais qui tombent parfois aux mêmes dates, la Saint-Finmian en décembre, et surtout la Saint-Patrick les 15, 16 et 17 mars. Ces fêtes étaient des foires, des assemblées politiques ou judiciaires et aussi des occasions de divertissements et de jeux dont quelques-uns, comme les courses, étaient d’origine religieuse.

Croix celtique près de Carnac
Croix celtique près de Carnac

C’étaient surtout des assemblées religieuses, qui se déroulaient dans une atmosphère de mythe et de légende. On racontait qu’à Samhain s’était livrée entre les Fomore (les gens de l’autre monde) et les Tuatha Dé Danann la grande bataille des dieux, la bataille de Mag Tured. A cette date aussi le roi Muiccetach Mac Erca, ayant enfreint les défenses imposées par une fée qu’il avait épousée, fut assailli par les fantômes, et pendant que la fée mettait le feu à son palais, se noya comme Flann dans un tonneau. Le héros Cuchulainn lui-même meurt le premier jour d’automne. Les périodes de fêtes sont des périodes pendant lesquelles les esprits sont lâchés, le miracle est attendu et normalement réalisé.

Le Samhain marquait la fin de l’été et le début d’une nouvelle année. Déguisements effrayants et vivres à profusion marquaient des festivités débutant à la nuit tombée, les premiers ayant pour but de passer auprès des morts pour l’un des leurs, les seconds visant à s’attirer leurs bonnes grâces et à les dissuader de saccager les récoltes. Ce cérémonial permettait de s’assurer d’une bonne année à venir. Un feu sacré, allumé par les druides, honorait Been, le dieu du Soleil, et chassait les mauvais esprits. Chaque famille recevait une braise lui permettant d’allumer chez elle un nouveau feu, qu’elle devait maintenir jusqu’à l’automne suivant.

Du Samain à Halloween, de la Toussaint à la Fête des morts
Sous la domination romaine, le Samain, fêté par les Gaulois, subit l’influence des célébrations en vigueur au mois d’octobre chez les conquérants pour fêter les morts : lesferalia. Elles se passaient comme les nôtres en plein air. Les sanctuaires étaient fermés en effet pendant les feralia ; toute cérémonie était suspendue ; il semblait qu’il n’y eût plus d’autres dieux que les mânes des défunts présents sous terre. Aussi leurs tombes étaient-elles le rendez-vous de toute la population des campagnes et des villes. On les jonchait de fleurs et de couronnes ; on y joignait des épis, quelques grains de sel, du pain trempé dans du vin pur. Le reste de la journée s’écoulait en prières et en commémorations.

On voit que notre Fête des trépassés (qui elle, se déroule le 2 novembre et dont l’institution se fera plus tard, au XIe siècle) ressemble singulièrement aux feralia des Latins. Et, de même, nous leur avons emprunté la fête qui précède le jour des morts et que nous appelons La Toussaint. Dans l’ancienne Rome, cependant, cette fête, qui s’appelait les caristia, suivait le Jour des morts au lieu de le précéder. Ovide nous a laissé une description charmante descaristia : « Après la visite aux tombeaux et aux proches qui ne sont plus, il est doux de se tourner vers les vivants ; après tant de pertes, il est doux de voir ce qui reste de notre sang et les progrès de notre descendance. Venez donc, cœurs innocents ; mais loin, bien loin, le frère perfide, la mère cruelle à ses enfants, la marâtre qui hait sa bru, et ce fils qui calcule les jours de ses parents obstinés à vivre ! Loin, celui dont le crime accroît la richesse et celle qui donne au laboureur des semences brûlées ! Maintenant, offrez l’encens aux mânes de la famille ; mettez à part sur le plateau des mets arrosés de libations, et que ce gage de piété reconnaissante nourrisse les lares qui résident dans l’enceinte de la maison ! »

Ce nom de lares, que portaient les mânes considérés comme protecteurs de la famille, de la maison, du domaine, de la tribu et de la cité, paraît avoir signifié maître ou chef. On voulait marquer ainsi que les ancêtres, même disparus, gardaient encore une autorité morale sur les foyers qu’ils avaient fondés. Ils étaient représentés dans l’atrium sous forme d’images de cire ou de statues de bois.

A mesure que le christianisme triompha, les temples des idoles furent détruits en Orient, et en Occident fermés seulement ou convertis en temples chrétiens. En 607, le pape Boniface IV fit ouvrir et purifier le Panthéon - temple que Marcus Agrippa, favori d’Auguste, avait fait bâtir et avait dédié à Jupiter Vengeur - le dédia sous le nom de la sainte Vierge et de tous les martyrs, et y fit transporter vingt-huit chariots d’ossements des mêmes martyrs, tirés des cimetières de la ville. Puis il ordonna que tous les ans, au jour de cette dédicace, le 13 mai, on fît à Rome une grande solennité en l’honneur de la Vierge et de tous ces glorieux témoins du Christ. Le bâtiment prit le nom de Sainte-Marie aux Martyrs, puis Notre-Dame de la Rotonde en raison de sa forme. Telle fut la première origine de la Fête de tous les Saints.

Fête de tous les saints
Fête de tous les saints

L’Eglise avait été portée à cette institution pour plusieurs raisons. Une des principales était d’honorer les saints n’ayant pas leur solennité particulière au cours de l’année, soit parce que leur sainteté ou même leurs noms ne nous sont pas connus, soit parce que leur grand nombre empêche de leur rendre un culte distinct et séparé. En 731, le pape Grégoire III consacra une chapelle dans l’église de Saint-Pierre en l’honneur de tous les saints et déplaça la fête au 1er novembre. Mais c’est Grégoire IV qui, venu en France en 837, sous le règne de Louis le Débonnaire, inscrivit la Toussaint au calendrier liturgique universel. Fêtée le 1er novembre, elle se combinait ainsi avec l’antique Samain, fête païenne se déroulant la nuit du 31 octobre au 1er novembre qui prit dès lors le nom de all hallow’s eve signifiant veille de la Toussaint.

Le Jour des morts n’était, lui, pas encore établi. L’usage de racheter par les aumônes et les prières des vivants les peines des morts, de délivrer leurs âmes du purgatoire, s’introduisit au XIe siècle. L’opinion d’un purgatoire, ainsi que d’un enfer, est de la plus haute antiquité ; mais elle n’est nulle part si clairement exprimée que dans le VIe livre de l’Enéide de Virgile. Cette idée fut peu à peu sanctifiée dans le christianisme, et on la porta jusqu’à croire que l’on pouvait par des prières modérer les arrêts de la Providence, et obtenir de Dieu la grâce d’un mort condamné dans l’autre vie à des peines passagères.

Le cardinal Pierre Damien, celui-là même qui conte que la femme du roi Robert accoucha d’une oie, rapporte la légende liée à l’institution de la Fête des morts. Selon cette fable, un pèlerin revenant de Jérusalem fut jeté par la tempête dans une île voisine de la Sicile, où il fit rencontre d’un ermite qui passait là ses jours dans une austère pénitence, n’ayant pour habitation qu’une caverne. Ce saint reclus le reçut fort charitablement ; et ayant appris qu’il était Français, il demanda des nouvelles de Cluny et de son abbé si célèbre, Odilon, avant de lui apprendre que l’île était habitée par des diables ; que son voisinage était tout couvert de flammes, dans lesquelles les diables plongeaient les âmes des trépassés ; que ces mêmes diables ne cessaient de crier et de hurler contre saint Odilon, abbé de Cluny, leur ennemi mortel.

Il dit ainsi : « Ici tout près j’ai vu souvent des flammes effroyables et des feux qui semblent être capables de dévorer tout ce pays : ils sortent des abîmes de la terre, élevant avec eux un million d’âmes, qui endurent des tourments insupportables et expient leurs péchés dans cet embrasement. Elles poussent des cris lamentables, au milieu desquels j’ai distingué les horribles hurlements des démons que j’ai vus, sous des figures affreuses, se plaindre avec rage de ce que plusieurs de ces âmes leur sont ravies avant le temps et sont conduites au ciel en triomphe, grâce aux prières, aux sacrifices et aux pénitences de tous les fidèles, et spécialement aux continuelles mortifications, aux sacrifices et aux prières de l’abbé de Cluny et de ses religieux, qui s’emploient dans cette œuvre de charité et de ferveur avec plus de zèle que tous les enfants de l’Eglise ».

Puis il exhorta fort le religieux, aussitôt qu’il serait arrivé en France, d’en donner avis à Odilon et de le prier de sa part de redoubler ses saints exercices. Ce rapport ayant été fait à Odilon, il établit que chaque année, le second jour de novembre, le lendemain de la fête de tous les saints, on ferait dans les monastères de son obédience la commémoration de tous les fidèles défunts. Ainsi fut initiée (1031) dans le couvent de Cluny la Fête des morts, que l’Eglise adopta et institua en 1048.

C’est ainsi qu’au cours du Moyen Age, la tradition du Samain s’effaça peu à peu en France au profit de la Toussaint et du Jour des morts, pour disparaître complètement et ne demeurer qu’en Irlande.

Note : les festivités d’Halloween durent leur implantation aux Etats-Unis à une maladie de la pomme de terre, qui poussa en 1846 nombre d’Irlandais à y émigrer. La tradition irlandaise consistait alors à creuser d’énormes pommes de terre ou des navets, que l’on illumine à l’aide de bougies pour en faire des lanternes : en arrivant aux Etats-Unis, les Irlandais substituèrent aux légumes de leurs ancêtres la citrouille qu’ils avaient découverte sur le sol américain. A la fin du XXe siècle, l’initiative d’une société française spécialisée dans le déguisement, bientôt relayée par quelques ténors de l’industrie alimentaire américaine, fut à l’origine du retour en France d’Halloween qui, ne l’oublions pas, fut une coutume celte puis gauloise...

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18 octobre 2015

mission de vie sur terre

Comment connaitre sa MISSION DE VIE avec Lilou Macé et David Laroche

17 octobre 2015

paranormal

Se libérer et se nettoyer de la magie noire (des formes pensées, de la poisse, du vaudou...etc)

16 octobre 2015

Fantôme sympa

Une propriétaire d'un magasin de robe de fantaisie a déclaré à la presse que l'un de ses plus précieux employés est un  

LUZZZZZZZZZZZ

fantôme qui l'aide régulièrement à retrouver des articles disparus.
Katy Duplock, âgée 39 ans, entend régulièrement des bruits sourds dans le magasin, et a même vu une « brume étrange » flotter dans les airs sur un miroir de la cave où, selon la légende locale, des ossements humains, soupçonnés d'appartenir à une jeune fille, ont été autrefois découverts.
Mais Katy croit que ce fantôme - qui a été prénommé Sarah - est sympathique.
Elle raconte :
« Chaque fois que nous perdons quelque chose, nous demandons à Sarah de nous aider à le retrouver, et quelques minutes plus tard nous le retrouvons soudainement. »
« Je suis sûre qu'elle est amicale de sorte qu'elle ne me dérange pas. Elle n'a jamais fait de mal à personne, donc je ne vois pas pourquoi elle en ferait maintenant. »
Katy, qui est propriétaire du magasin « The Party Shop » situé à Mold (dans le comté de Flintshire, au Pays-de-Galles), ne se souvient avoir eu peur de cette apparition.


« J'ai été dans la cave et j'ai vu une forme de brume au-dessus de l'endroit où les os ont été trouvés. »


« Je pensais que j'avais quelque chose dans mon œil, mais je l'ai frotté et le brouillard était toujours là. »


« Je lui ai demandé de partir parce qu'il me faisait peur et la brume a disparu. »


La légende de la boutique hantée est bien connue au sein de la ville, et de nombreus habitants locaux ont prétendu avoir vu le visage d'une jeune fille regardant à l'une des fenêtres situées de l'étage de la boutique.


Lorsque Katy a acheté le magasin il y a quatre ans, son précédent propriétaire l'avait averti de la façon dont la caisse pourrait faire du bruit alors que personne ne l'utilisait.


« Il ne m'a jamais découragé et j'ai toujours été intéressée par le paranormal. »


« La plupart des jours à 9 heurs il y a comme une fissure dans le plafond. Cela ressemble à quelqu'un qui sort de son lit. »


« Souvent, nous entendons un énorme bruit sourd quelque part, comme quelqu'un qui tombe. »


« Je vais toujours jeter un œil à l'étage, mais il n'y a jamais personne. »


Katy a dit que l'esprit devient particulièrement excité une fois que le magasin reçoit ses livraisons pour la fête d'Halloween.


« Une fois, il y a une tenue qui a disparu. Nous ne pouvions pas trouver cette veste dorée. Je l'ai cherché en haut et en bas toute la journée ... »


« Mon collègue a demandé à Sarah de nous aider à la retrouver, et, à ce moment, je l'ai découvert sur une étagère, là où je venais juste de vérifier. Elle n'était pas là avant et elle a semblé apparaître soudainement. »


« Cela est arrivé beaucoup de fois. »


Mais, dit-elle, son personnel a été parfois effrayé par la présence inquiétante de Sarah.


Auparavant, une équipe d'enquête sur le paranormal a été invité au magasin. Les enquêteurs découvrirent que l'esprit s'appelait Victoria.


Plus récemment, une pile de chapeaux qui était fermement coincée sur une étagère est tombée sur tout le personnel alors qu'ils essayaient de discuter avec Sarah.


Une autre fois, Katy a ressenti un puissant froid l'envahir alors même qu'il faisait chaud dans la pièce.


Source

 

 

 

16 octobre 2015

Vécu paranormal

Témoignage :

« J’ai vécu une expérience avec un fantôme / démon. Nous étions à Kansas City il y a quelques semaines de cela et nous sommes allés dans ce château hanté. Nous étions si excités. La nuit suivante, nous voulions aller au cimetière de Stull, qui est connu comme étant l’une des sept portes de l'enfer sur terre.
Je me sentais comme malade, comme s’il y avait un immense sentiment de négativité sur toute la voiture et nous avons senti le soufre, qui est le signe de la présence d’un démon. Il y avait une mouche dans la voiture, qui est un autre signe d’un démon. Je me suis dit, ‘Ceci est effrayant, partons.’ Avant de partir, j’ai baissé la vitre et j’ai dit, ‘Nous nous excusons. Nous ne voulions pas perturber votre tranquilité. Puis j’ai pris une photo et il y avait trois visages ultra distincts. Ce sont les visages des démons comme ils sont représentés dans les manuels scolaires.
Je suis allée dormir. C’était il y a environ deux semaines. Je venais d’éteindre mon téléphone et dès que j’ai fermé les yeux, j’ai entendu ce grondement très fort dans ma tête. Quand j’ai ouvert mes yeux, il s’est arrêté immédiatement, mais quand je fermais les yeux, ces chuchotements recommençaient de nouveau. Chaque fois que je fermais les yeux, je commençais à voir ces images vraiment troublantes, comme des formes rouges. Sur le côté gauche de mon lit, il y avait une énorme forme noire. »
La jeune femme, totalement effrayée, a alors reçu un texto d’un numéro inconnu lui conseillant de se détendre afin de faire fuir le démon. C’est exactement ce qu’elle fit. Et, comme ces monstres invisibles sont connus pour se nourrir de la peur de ses victimes, quand elle se réveilla quelques heures plus tard, il avait disparu.
Source

 

15 octobre 2015

News paranormal

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