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NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet
31 mars 2015

êtes vous une vieille âme ?

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11 signes qui indiquent que vous êtes une vieille âme

« Quel âge auriez-vous si vous ne connaissiez pas votre âge ? » Satchel Paige

Il y a certaines personnes dans notre monde qui se retrouvent seules et isolées, pratiquement depuis qu’elles sont nées.

Son existence solitaire ne vient pas d’une préférence ou d’un tempérament asocial, il est tout simplement vieux. Vieux dans le cœur, vieux dans l’esprit et vieux dans l’âme, cette personne est unevieille âme qui a une conception de la vie très différente et plus mature que son entourage. Par conséquent, elle vit sa vie interne, trace son propre chemin solitaire tandis que les personnes qui l’entourent affluent vers un autre chemin. Peut-être que vous en avez fait l’expérience dans votre vie, ou que vous connaissez quelqu’un qui en a fait l’expérience ? Si oui, cet article est pour vous, en espérant que vous réussirez à vous définir, ou à mieux comprendre quelqu’un d’autre.

La « vieille âme »

Robert Frost, Eckhart Tolle et même Nick Jonas ont été appelés ainsi. Peut-être que vous aussi ? Moi oui. Comme beaucoup d’entre eux, j’ai fait cette découverte lors de ma rencontre avec Soi, qui m’a parlé de son enfance, un garçon précoce, intelligent, qui se liait d’amitié avec les enseignants à la place des élèves, simplement parce qu’ils étaient trop différents de lui. comme il a raconté qu’il était incapable de trouver un intérêt à parler aux gens de son âge, j’ai découvert que je ressentais la même chose, et c’est toujours le cas.

Voici 11 signes qui indiquent que vous êtes une vieille âme:

 

1 – Vous avez tendance à être un solitaire isolé

Parce que les vieilles âmes se désintéressent des activités et des intérêts des personnes qui sont dans la même tranche d’âge, ils trouvent que c’est insatisfaisant de devenir ami avec des gens s’ils ont du mal à s’identifier à eux. Résultat… les vieilles âmes ont tendance à se retrouver seules la plupart du temps.

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2 – Vous aimez la connaissance, la sagesse et la vérité

Cela semble un peu trop grandiose et noble, mais la vieille âme se retrouve naturellement attirée par le côté intellectuel de la vie. Les vieilles âmes comprennent d’instinct que la connaissance est le pouvoir, la sagesse est le bonheur et la vérité est la liberté, alors pourquoi ne pas rechercher ces choses ? Ces recherches sont plus significatives pour elles que les derniers potins des stars, ou les derniers résultats de football.

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3 – Vous êtes enclin à la spiritualité

Les vieilles âmes les plus émotives ont tendance à être de nature plus sensible et spirituelle. Aller au-delà des limites de l’égo, chercher la lumière et promouvoir l’amour et la paix sont leurs principales recherches. Pour elles, il semble que ce soit l’utilisation du temps la plus sage et la plus enrichissante.

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4 – Vous comprenez le caractère éphémère de la vie

Les vieilles âmes sont souvent confrontées non seulement aux rappels de leur mort, mais aussi de tous ceux qui les entourent. Cela rend la vieille âme méfiante et parfois elle se retire, mais elle dicte avec sagesse la façon dont ils vivent leur vie.

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5 – Vous êtes réfléchi et introspectif

Les vieilles âmes ont tendance à beaucoup réfléchir…sur tout. Leur capacité à réfléchir et à apprendre de leurs actions et de celles des autres est leur plus grand professeur dans la vie. Une raison pour laquelle les vieilles âmes se sentent si vieilles à l’intérieur, est parce qu’elles ont appris beaucoup de leçons à travers leur réflexion, et ont un meilleur aperçu des situations de la vie grâce à leur capacité à observer tranquillement et soigneusement ce qui se passe autour d’elles.

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6 – Vous êtes une vieille âme quand vous regardez les choses dans leur ensemble

Il est rare que les vieilles âmes perdent leur temps dans les détails comme avoir des diplômes inutiles, des promotions de l’emploi, faire de la chirurgie et avoir une plus grande télévision. Les vieilles âmes ont tendance à regarder la vie avec une vue d’ensemble, à voir la façon la plus judicieuse et la plus utile d’aborder la vie.

Lorsqu’elles sont confrontées à des problèmes, les vieilles âmes ont tendance à les voir comme des douleurs temporaires et passagères qui servent simplement à augmenter la joie ressentie dans le futur. Par conséquent, les vieilles âmes ont tendance à être de nature calme, stable en raison de leur approche de la vie.

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7 – Vous n’êtes pas matérialiste

La richesse, le statut, la célébrité et la dernière version de l’Iphone…. Les vieilles âmes n’en ont que faire. La vieille âme ne voit pas l’intérêt de rechercher des choses que l’on peut facilement lui reprendre. De plus, les vieilles âmes ont peu de temps et d’intérêt pour les choses éphémères de la vie, car elles ont peu de signification ou mettent longtemps avant d’être accomplies.

 

8 – Vous étiez un enfant étrange, socialement mal adapté

Ce n’est pas toujours le cas, mais beaucoup de vieilles âmes sont plus matures que les enfants de leur âge. Souvent, ces enfants sont étiquetés comme étant « précoces », « introvertis », ou « rebelles », car ils n’entrent pas dans les comportements traditionnels. Habituellement, ces enfants sont extrêmement curieux et intelligents, ils voient l’inutilité de nombreuses choses dites par leurs enseignants et leurs parents, et ils leur résistent passivement ou activement. Si vous pouvez parler à votre enfant comme si c’était un adulte, vous avez probablement une vieille âme entre les mains.

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9 – Vous vous sentez vieux

Avant de mettre un nom sur ce que je ressentais, j’ai parfois eu la sensation d’être tout simplement « une personne âgée » à l’intérieur. En principe les sentiments qui accompagnent une vieille âme sont : un sentiment de méfiance du monde, une fatigue mentale, et un calme détaché. Malheureusement, les gens les perçoivent souvent comme des personnes distantes et froides, mais c’est seulement l’un des nombreux mythes sur les vieilles âmes.

10– vous faites confiance à votre instint

Quand la vie devient mouvementée, et elle le devient à un moment ou à un autre, vous avez appris à faire confiance à votre intuition. Il n’est pas toujours facile de suivre ce que vous ressentez à l’intérieur de vous, mais vous avez constaté que vous obteniez les meilleurs résultats en suivant votre instinct.

Il est plus facile pour vous de prendre des décisions et de faire en sorte qu’elles soient au final le meilleur choix pour vous et votre entourage.

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11– Vous êtes doué pour l’écoute

Lorsque d’autres âmes plus jeunes semblent se noyer sur vous, vous êtes celui qui reste les bras croisés et absorbe toutes les données. C’est en écoutant que vous apprenez le plus et comme vous aimez apprendre, c’est facile.

Les gens sont souvent impressionnés par votre capacité à écouter calmement et en profitent pour vous parler lorsqu’ils ne vont pas bien.

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Ainsi certaines personnes âgées se décrivent comme étant « jeunes d’esprit » et d’autres qui sont très jeunes se décrivent comme « vieilles d’esprit ».

ALETHEIA LUNA

Vous a t-on déjà dit que vous étiez une vieille âme ? Dites-le nous dans les commentaires ci-dessous !

Sandra Véringa

Après 11 signes qui indiquent que vous êtes une vieille âme voir aussi

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29 mars 2015

Projet Camelot

Le Projet Camelot ou le programme de réduction de la population mondiale.

Le Projet Camelot ou le programme de réduction de la population mondiale. 


Voici les propos d'un certain scientifique civil "Henry Deacon", qui a travaillé dans un organisme spécial (genre CIA) en ayant, cela va de soi, un haut degré d'habilitation dans les Services Secrets des USA. 

" H.D. : Outre les problèmes d'espace-temps dont j'ai parlé, il y a celui du surpeuplement. C'est très simple : il existe des programmes de réduction de la population mondiale pour le bien de tous. Croyez-le ou non, l'intention est positive. Kennedy avait élaboré cela il y longtemps. La RAND Corporation était impliquée ainsi qu'un des Rockefeller..., Lawrence, je crois. 

L'interviewer : P.C. : En tuant les gens ? 

H.D. : En principe, oui. On a généré des virus artificiels, disséminés de manières diverses, qui sont difficiles à détecter, à identifier et impossibles à soigner. Le personnel médical ne peut comprendre ce qui se passe. L’accroissement incontrôlé de la population mondiale peut très vite provoquer l’anéantissement de l’ensemble de l’humanité, mais la solution imaginée par "Big Brother" est certainement pire que le mal. 

P.C. : Quel est votre ressenti sur cette question ? 

H.D. : Très partagé. [Pause]. En tant qu'individu humain de chair et d'os, je suis épouvanté. En tant que scientifique entraîné à prendre du recul, à voir les choses d'un point de vue global, je dois avouer que je comprends la démarche logique. Comprenez-moi bien, je ne cherche ni à défendre, ni à ignorer cela ; mon commentaire procède d'un point de vue scientifique abstrait. Nous devons faire face, sur cette planète, à des problèmes si énormes que peu de gens possèdent la formation ou l'expérience permettant d'appréhender l'ensemble dans un même champ de vision. La nature de mon travail m'a offert la chance de voir beaucoup de choses que la plupart des gens ne voient pas. J'ai travaillé dans de nombreuses agences différentes et cela me donne une vue d'ensemble. Savez-vous qu'il est légal d'essayer des agents chimiques et biologiques sur des citoyens américains ? C'est légal, il suffit d'obtenir l'approbation du maire d'une ville, ou de son équivalent n'importe où, ou d'un représentant officiel, Personne ne sait cela, mais vous pouvez vérifier. C'est bien caché dans la loi mais c'est du domaine public. 

P.C. : Quel est le message le plus important que vous aimeriez communiquer à la population ? 

H.D.: Je n'aime choquer personne, mais je ne suis pas optimiste. Les problèmes auxquels notre race doit faire face sur cette planète sont gigantesques. Je ne pense pas que la plupart des civils soient prêts et aptes à comprendre ni à en gérer la complexité. Ils ont tous assez de mal à s'occuper de leur vie quotidienne et ceci est d'un tout autre niveau. Le surpeuplement est une affaire très grave et tous les autres problèmes y sont liés. Je comprends que les militaires doivent prendre les choses en main. 

P.C. : Pensez-vous qu'une divulgation générale de tous les problèmes et de leurs solutions nous aiderait réellement ? 

H.D. : Probablement non, cela rendrait les choses encore plus compliquées. Cependant, en mon for intérieur, il me semble que les gens devraient au moins savoir ce que je viens de vous dire, sans quoi je ne vous aurais pas accordé cette interview. 

Je voudrais terminer sur ce message essentiel : j'espère vraiment et je voudrais croire que, en tant que peuple humain, nous puissions gérer tout cela, mais en me réveillant le matin, parfois j'en doute. Pourtant, profondément, je souhaite que les gens prennent conscience des choses importantes qui nous ont toujours été dissimulées. " 

http://www.projectcamelot.net/



 

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27 mars 2015

l ' Orgone

Orgone et Ascension 

Le rôle de l'orgonite dans le processus ascensionnel : orgonite physique et orgonite spirituelle. 

Un nombre sans cesse croissant de télépathes, d'ufologues et de spécialistes des mondes dits "parallèles", sont aujourd'hui convaincus que l'homme actuel est une création extraterrestre (Cf. notre page L'homme et les Elohim). 

Non seulement toutes les connaissances scientifiques, métaphysiques, alchimiques, théurgiques actuellement disponibles sur notre planète auraient jadis été importées d’autres systèmes solaires de notre galaxie par des colons de l'espace (Cf. notre page Kwan Yin et les peuples des étoiles), mais l'homme terrestre serait lui-même une création des Extraterrestres. 

II y a très longtemps, des membres d'une expédition d'outre-espace appartenant à une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre, seraient venus sur la Terre pour y créer toutes les formes de vie que nous connaissons actuellement, y compris celle de l'homme. Ces "Elohim" auraient créé l'homme terrestre "à leur image et à leur ressemblance", comme cela est rapporté dans la Bible, grâce à une maîtrise parfaite de l'ADN et des techniques génétiques. Ils étaient considérés comme des dieux par nos ancêtres primitifs. C'est pourquoi on trouve, dans toutes les anciennes civilisations, des traces de leur présence sur la Terre. Ils furent à la base de toutes nos anciennes religions. 

David Icke, Anton Parks, Zecharia Sitchin, Gerry Zeitlin, David Bohm, Karmaone et un certain nombre d'autres chercheurs en histoire occulte des civilisations disparues ont accepté l'hypothèse selon laquelle, après avoir cohabité avec nos ancêtres et avoir eu des relations avec des humaines avec lesquelles ils étaient génétiquement compatibles, les Nephilim, les "demi-dieux" dont nous serions issus, quittèrent la Terre mais surent garder l'humanité sous contrôle via un réseau de grilles telluriques et énergétiques, des grilles composées d'une étrange et mystérieuse substance, le DOR. 

Qu'est-ce que le DOR ? Pour répondre à cette question, il n'est pas inutile de dire quelques mots des travaux d'un surprenant inventeur américain d'origine autrichienne, qui fut à la fois physicien, psychiatre, philosophe et grand humaniste : le Docteur Wilhelm Reich. 



Wilhelm Reich (1897 - 1957) 



La mission de Wilhelm Reich 

Comme la plupart des génies et des visionnaires très en avance sur leur époque, Wilhelm Reich (1897 - 1957) fut jalousé, incompris, dénigré, victime de cabales diverses et persécuté durant une grande partie de sa vie. On lui reprochait, entre autres, ses multiples conquêtes féminines et il fut aussi injustement accusé d'avoir collaboré avec des chercheurs nazis, ce qui lui valut plus tard le triste et machiavélique surnom de "Reich the third" ("Troisième Reich"). 

Toutes les attaques dont il fut l'objet, toutes les pressions et les persécutions qu'il eut a subir, notamment de la part de la CIA, qui l'obligea à signer avec elle un contrat de 5 années, avant de le faire jeter en prison, où il mourut deux années plus tard dans des circonstances plus que troubles, ne le détournèrent jamais de la grande mission qu'il s'était assignée : percer le mystère de l'Orgone et ainsi, libérer l'homme de la dualité et des limitations de la matière. 

L'Orgone est le nom qui fut donné par Wilhelm Reich à l'énergie vitale omniprésente dans l'univers. Selon les traditions, l'Orgone est également appellée "Chi", "Prana", "Éther", "Élan vital", "Akasha", "Fohat", "Lumière astrale" ou "cinquième Élément". 

Du fait de la bipolarisation qui prévaut dans notre dimension, et qui permet à la dualité de se manifester dans notre plan d'existence sous forme de jour, nuit, chaud, froid, été, hiver, santé, maladie, plaisir, douleur, bien, mal, etc. cette énergie s'y polarise également sous forme de POR, Orgone positive, bénéfique et vivifiante, et de DOR, Orgone négative, maléfique et destructrice. 

Le DOR transite à travers les pensées et les émotions négatives, le mensonge, la violence et s'exprime par le canal des industries et des technologies liées à l'électromagnétisme, principalement celles qui sont associées aux émissions de radiofréquences, de basses fréquences et de micro-ondes, à la fusion et à la scission de l'atome. Il est spécialement élevé dans nos appareils de type télévisions, ordinateurs et téléphones portables, fours à micro-ondes, lignes à haute-tension, etc. Le DOR est également véhiculé à travers différentes substances naturelles telles que l'alcool, le tabac et certains psychotropes, ou chimiques, telles que les drogues de synthèse et la plupart des médicaments allopathiques. 

Les premières recherches de Reich l'amènent assez vite à la conclusion qu'au moment de l'orgasme sexuel, une énergie d'un type très particulier se libère en l'homme, une énergie associée à la Matrice énergétique universelle à laquelle il attribua le nom d' "Orgone". Car selon lui, cette Énergie, loin d'être confinée au seul plaisir sexuel, est présente dans tous les aspects de la vie et dans tous les plans de l'existence. 

À partir de 1933, ses recherches sur l'Orgone accaparèrent tout son temps et l'obligèrent à mettre fin à sa carrière de médecin. Il aboutit peu à peu à l'idée que l'Orgone représente une force vitale qui sous-tend l'ensemble de la Création - une sorte de Force cosmique, invisible et omniprésente, constituant le fondement même de la vie sous toutes ses formes. Sa théorie était que tous les maux humains résultent de blocages dans l'écoulement de cette force qui, seule, peut délivrer l'homme de l'angoisse et des limitations inhérentes à l'incarnation et le mener au bonheur. En conséquence, il concentra tous ses travaux sur la manière de capter, d'utiliser, de développer et, d'une façon générale, de manipuler l'Orgone. 

Même si les mots "Prana", "Akhasha" ou "Lumière astrale" étaient déjà utilisés depuis des temps immémoriaux par les plus grands Maîtres spirituels de notre humanité pour désigner cette Énergie universelle primordiale rebaptisée "Orgone" par Wilhelm Reich, il fut le premier scientifique sérieux et intègre à se pencher sur ce concept, et à essayer d'en établir l'existence et les propriétés de manière rationnelle. 

Il parvint ainsi à démontrer que l'Orgone se manifeste dans notre plan d'existence sous les formes les plus multiples : une manifestation concrète d'Orgone positive peut, par exemple, être observée sous la forme d'un beau cumulus en été, car les nuages sont bien plus que de la vapeur d'eau; ce sont des concentrations massives d'Orgone, la vapeur d'eau n'étant en réalité que l'une des multiples facettes de l'Orgone positive dans notre dimension. 

À l'inverse, les chemtrails, les micro-ondes utilisées pour disloquer le corps éthérique des aliments, les dispositifs de type HAARP et même les maladies de type sida et cancer sont de bons exemples d'Orgone négative "au travail" dans la 3D. Sans Orgone négative, aucune arme, aucune technologie militaire ne pourrait fonctionner, et aucune maladie ne pourrait même exister. 

Sans Orgone négative, le "Nouvel Ordre mondial" (qui n'a en réalité de "nouveau" que le nom) ne pourrait lui non plus perdurer ! Car ce soi-disant "Nouvel Ordre libéral" n'est rien d'autre qu'un macro-parasite éthérique, un chancre qui se nourrit principalement de DOR, de l'Orgone négative, et maintient son emprise sur l'humanité via un réseau de grilles telluriques basé sur la production et l'émission de DOR. 

Ce grillage était traditionnellement orchestré et maintenu en place par des groupuscules affiliés à des sociétés secrètes n'hésitant pas à promouvoir les drogues, les sacrifices rituels (humains ou animaux), tout en recourant à des portails énergétiques (sous forme de pyramides, de menhirs, de dolmens, d'obélisques, parfois même de cathédrales, etc.). Le but étant de maintenir coûte que coûte au pouvoir, sous couvert de "démocratie", une hiérarchie élitiste guidée par la haine, le mensonge, l'ambition, nourrie par les conflits et guerres de toute sorte, dans tous les pays de la planète, et directement inféodée aux créateurs de la grille. 

Tout semble cependant indiquer que cette matrice grillagée de DOR ait peu à peu perdu de son efficacité au cours des 30 dernières années, d'où la multiplication actuelle de nouveaux moyens technologiques dont on voudrait nous faire croire qu'ils sont destinés à améliorer notre confort et notre bien-être, alors que leur finalité réelle n'est autre que le maintien du grillage en place. Ceci explique la promotion par nos "Contrôleurs" et donc l'essor actuel fulgurant des "nouvelles" technologies, des centrales nucléaires, des réseaux de communication sous leurs différentes formes et plus récemment des chemtrails, autant de leviers qui forment l'infrastructure de cette matrice par laquelle se déploie actuellement le DOR sur l'ensemble de notre planète. 

Un bon exemple de ce dispositif est la multiplication récente des antennes militaires. La plupart des gens ne les remarquent pas, car ils croient toujours qu'il s'agit d'installations destinées aux téléphones cellulaires, sans se douter que c'est ce système qui maintient une bonne partie du grillage en place de nos jours. 

Fort heureusement, grâce à l'ouverture des consciences sous l'influence du POR (le pendant positif du DOR), la situation est en train de changer depuis quelques années. Mais tous ceux qui ont pris conscience que les dés étaient pipés dans le système soi-disant "démocratique" dont nos dirigeants continuent de se gargariser devant des médias complices, le doivent à la perspicacité et à l'opiniâtreté de grands pionniers dont Wilhelm Reich fut sans conteste le plus brillant des porte-flambeaux. 

En 1947, Reich signa donc, contraint et forcé, un contrat de 5 ans avec la CIA. Il fut obligé de remettre aux services secrets américains les plans de son appareil de contrôle du temps atmosphérique qui était, entre autres, capable "d'aspirer" les DOR des dépressions, et donc de réduire considérablement la violence des tempêtes, des cyclones et des ouragans. 




Le "cloudbuster" conçu et construit par Wilhelm Reich était capable non seulement de réduire la violence des tempêtes, mais aussi de faire pleuvoir ! 

Le matériel mis au point par Reich fut testé avec succès sur une tempête qui s'apaisa brusquement comme par magie, et l'état-major de l'armée américaine décida alors de mettre en place un programme consistant à lancer dans l'espace 200 à 500 radiosondes par jour pendant une durée d'un an. Des petites boîtes blanches, conçues sur la base des travaux de Reich, étaient attachées à un ballon, et officiellement lancées pour recueillir des données météorologiques. Elles émettaient, sur la fréquence de 1680 MHz, un signal oscillant continu dans un rayon de 100 kilomètres, visant à convertir l'énergie électrique en énergie éthérique. À l'intérieur se trouvait un "thermistor" composé d'or, d'argent, de platine et d'iridium. Une plaque de plastique cerclée d'argent y tenait lieu de capteur d'humidité qui servait d'antenne déphasée. Cet appareil était censé anéantir les DOR et produire de l'Orgone. 

C'est de la combinaison de ce projet (contrôle de la pression atmosphérique à l'aide de la méthode de transmission par radiosondes imaginée par Reich) et de l'Expérience de Philadelphie (invisibilité) que naquit quelques mois plus tard le projet Phenix, visant au contrôle de la pensée - "altération de l'humeur", selon les termes des responsables du projet. 

À son grand étonnement, Reich s'aperçut que sa machine était également capable de produire un phénomène de condensation dans les nuages et donc de faire pleuvoir. Il la baptisa donc "cloudbuster". 

Mais le contrat de Reich avec la CIA était arrivé à son terme et il ne souhaita pas le renouveler. Bien plus, il menaça de révéler aux médias internationaux le contenu de ses stupéfiantes découvertes. 

Et on connaît la suite… 

Heureusement, dans toute histoire au dénouement tragique, il y a toujours le bon côté des choses. Or, cette contre-partie heureuse porte un nom imaginé par Don Croft, dauphin et héritier spirituel de Wilhelm Reich. Et ce nom ne doit évidemment rien au hasard, puisqu'il s'agit du mot : "Orgonite". 


Orgonite physique et orgonite spirituelle 

Qu'est-ce que l'Orgonite ? L'Orgonite est un matériau issu d'une technologie toute simple, inspirée et dérivée des travaux du Docteur Reich et améliorée par Don Croft. Elle permet de transmuter le DOR en POR en le purifiant. 

Cette technologie est aujourd'hui éprouvée, des centaines d'individus en ont observé les effets un peu partout de par le monde. Certains ont réussi à accomplir ce qu'on aurait pu autrefois qualifier de miracle. Par exemple : dépolluer les eaux du lac Ontario, éradiquer la sécheresse en Afrique du Sud, éliminer les effets des chemtrails dans des régions entières, et bien d'autres exploits encore! Tous ces prodiges ont été réalisés grâce à l'Orgonite. Et cela nous a semblé mériter largement d'être souligné. 

Don Croft et son équipe ont tout simplement réalisé que ces fléaux provenaient d'abord du plan éthérique où ils étaient liés à la présence massive de DOR. C'est pourquoi, si l'on accepte que l'Orgonite, imaginée par Don Croft, permette effectivement de réaliser la transmutation du DOR en POR, il n'y a évidemment plus lieu de crier au miracle! 

L'Orgonite est obtenue en mélangeant trois ingrédients essentiels: 
- des particules de métal. 
- de la résine de polyester ou d'époxy (ou encore du sucre). 
- un ou des cristaux de quartz et des minéraux. 

Le mélange de métal et de résine doit être en proportion 50-50 pour obtenir un effet maximal. 

Comment cela fonctionne-t-il? Sans rentrer dans les méandres d'un descriptif technique et fastidieux, on peut résumer les choses de la manière suivante : le métal attire le DOR. L'énergie ainsi captée traverse alors des couches successives de métal et de longues chaînes moléculaires de polymères à base de carbone (résine), ce qui provoque une augmentation de son taux vibratoire et, en même temps, la purifie et la sublime. Le DOR se transmute ainsi en POR. 

Les cristaux et les pierres servent aussi à répartir l'énergie purifiée dans un environnement déterminé. 




Objets en orgonite : ils peuvent être coniques, cylindriques ou pyramidaux, et ils existent parfois même sous forme de jouets ou de pendentifs. Plus leur forme est belle et harmonieuse, et plus ils sont efficaces. On peut également utiliser plusieurs générateurs d'orgone en un même lieu, à condition qu'ils soient répartis suivant une configuration géométrique équilatérale (triangle, pentagone, hexagone, etc.). Leur puissance s'accroît alors de façon exponentielle en fonction de leur nombre. 

L'histoire de l'Orgonite a commencé aux alentours de 1999, alors que Don Croft venait de découvrir que son nouvel appareil, le chembuster, pouvait effacer les chemtrails (traînées de condensation d'origine chimique) à l'époque omniprésents. 

Don Croft a inventé à la fois le chembuster, le zapper à orgonite, le Psionisateur (Succor Punch), du Towerbuster, la "Sainte Grenade" (Holy Handgrenade) et le "Bâton de pouvoir" (Powerwand). La plupart de ces appareils contiennent de l'Orgonite, 

Il a aussi fondé en mars 2001 un mouvement associatif dont l'objectif est d'améliorer la qualité de l'énergie de la planète. Il lutte principalement contre les chemtrails et les organisations sataniques qui en seraient à l'origine, avec l'aide de sa femme Carol qui est médium et de sa fille Nora qui est clairvoyante. 







Don Croft et sa fille Nora au pied du Mont Shasta en Californie. Nora voit et identifie les énergies (des plus subtiles aux plus lourdes). Elle guide son père jusqu'aux endroits qui doivent être décontaminés et l'assiste dans ses travaux de fabrication ou de modification d'instruments destinés à la guérison par les énergies. 







Par la suite, plusieurs personnes ont commencé à s'intéresser aux exploits et aventures de Don Croft, et un mouvement souterrain a vu le jour... Ses membres ont expérimenté le chembuster et ils se sont rendus compte que les dires de Don étaient bel et bien vrais: les chemtrails disparaissaient en quelques secondes ! Un jeu de cache-cache et d'intimidation de la part la CIA, puis de la NSA s'est alors instauré. Les récits de cette étrange traque sont archivés et disponibles ICI. Aujourd'hui, des milliers de chembusters sont implantés aux États-Unis et à travers le monde. 



L'une des inventions de Don Croft : le chembuster. 


En plus de la lutte directe contre les chemtrails, les orgonautes se sont mis à déployer de petits appareils à Orgonite, les HHG, en divers endroits stratégiques pour l'environnement: cours d'eau, forêts, mais aussi vortex, lignes telluriques, et dans tous les lieux qui constituent des cibles privilégiées pour les Contrôleurs de notre grille énergétique (Nephilim). 

La clairvoyance de Carol et de Nora Croft leur permet de guider Don dans ses recherches, et aussi de confirmer l'efficacité des actions posées par les militants de l'association. 

Un nouveau "sport" est ainsi né aux Etats-Unis : le "gifting", qui consiste à se rendre sur les terrains contaminés, à y placer des appareils à Orgonite (ou générateurs d'Orgone) dont l'objectif est de percer la matrice de DOR, de contrer les efforts des Nephilim et de leurs acolytes, et ainsi de reprendre contrôle sur la grille planétaire qui appartient en réalité à l'humanité et non à ses prédateurs. 

Une sorte de curieuse guerre physico-éthérique s'est alors mise en place. 

Avec les années, des outils de défense et de protection psychiques ont été développés, permettant ainsi d'étendre le combat via des actions radioniques à distance, en dirigeant de l'Orgone et des intentions lumineuses vers nos prédateurs supposés. 

L'Orgonite est donc un outil et une alliée inestimable pour mener ce combat, mais il ne faut cependant jamais oublier qu'elle ne concerne finalement que l'aspect extérieur des choses, et que le véritable combat se situe en nous. Chaque homme, chaque femme a aujourd'hui la possibilité de transformer en la sublimant et en la purifiant la grille interne de contrôle qu'il s'est lui-même forgé au cours de ses incarnations et expérimentations successives. 

Jadis, les alchimistes cherchaient la pierre philosophale pour transmuter les métaux en or, exactement de la même manière que Don Croft utilise aujourd'hui l'Orgonite pour transmuter le DOR en POR. Mais ce n'était et ce n'est toujours que l'aspect extérieur de la question. Car en réalité, ce n'était pas tellement l'or que cherchaient les véritables alchimistes. Derrière tous ces processus de transformation des métaux, derrière les différentes phases de "l'Œuvre", ils cachaient des phénomènes de la vie intérieure, des processus psychiques, spirituels. 

La véritable pierre philosophale, la véritable Orgonite, c'est le chakra du cœur, et la véritable Orgone, c'est l'Amour divin. Lorsque l'homme a trouvé cet Amour et qu'il arrive à le manifester correctement, il réussit à transformer tous les éléments impurs et grossiers qu'il a accumulés en lui en matière noble, lumineuse, en POR… 

L'Amour est une énergie qui vient de très haut et qui est de la même essence que l'énergie solaire. Qu'il en soit conscient ou non, l'homme a la tâche de recevoir cette énergie et de la faire circuler en lui pour la renvoyer ensuite vers le Ciel d'où elle est venue. 

Il est écrit dans la Table d'Émeraude du grand Hermès Trismégiste : « Elle monte de la Terre et descend du Ciel et reçoit sa force des choses supérieures et des choses inférieures… C'est la Force forte de toutes les forces.. » Voilà le trajet normal de l'Orgone, de cette Force, de cette Énergie primordiale : du Ciel à la Terre et de la Terre au Ciel. Mais, étant donné que chez la plupart de nos contemporains, le chemin n'est pas libre parce qu'il est encombré d'impuretés, cette Force est constamment déviée et s'en va alimenter les démons souterrains qui œuvrent au maintien de notre grille d'enfermement. 

Or, c'est ce retour vers les plus hautes cimes de notre Être spirituel que l'on appelle "Ascension" et qui nous est aujourd'hui proposé ! L'Ascension n'est pas une utopie. Elle est à la portée de tous et de chacun d'entre nous. 

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27 mars 2015

Fées et témoignage

habitudes-toxiques-

Je m'appelle Louis Rossignol, 
j'habite un village reculé du centre de la France au nom curieux de St Dizier Leyrenne. Ce village de la Creuse tient son nom du cours d'eau qui le traverse : la Leyrenne. Aujourd'hui, lundi 4 août 1928 (j'ai oublié de mentionner mon âge - c'est important, car certains me pensent gâteux, j'ai 68 ans.) Je rentrais par la route de Murat à St Dizier. Je hatais le pas, d'abord parce qu'on m'attendait, ensuite parce que le temps devenait très menaçant. Je ne marche pas très vite, j'ai une canne, et les sabots ne me permettent pas de courir, aussi, faisais-je de mon mieux. Les orages dans cette région sont plutôt mauvais et il est préférable de ne pas s'attarder quand on les sent 
approcher. Les odeurs de la journée remontaient du sol sous l'effet de la 
chaleur et de l'humidité ambiante. Le ciel était noir sur Belleseauve, 
signe que l'orage n'allait pas tarder à arriver sur St Dizier. Cette route, si 
l'on peut appeler cela une route, est à découvert sur toute sa longueur. 
Seul un vieux chêne à mi-parcourt pourrait permettre de s'abriter si 
l'orage venait soudainement. Je me hatais donc vers cet arbre. Et ce que je 
redoutais ne manqua pas de se produire. Un grand crac retentit avant même 
que j'ai pu atteindre le chêne et quelques minutes après une violent 
averse s'abattit. Je réussis à rejoindre l'arbre, mais évidemment j'étais trempé 
(ce qui à mon âge est loin d'être recommandé). 

...Le ciel était très sombre, comme s'il faisait soudainement nuit. Je tiens à préciser que j'avais beau être à l'abris, je ne me sentais pas pour autant en sécurité. Tout le monde sait bien qu'il ne faut pas s'abriter sous un arbre lorsqu'il y a de l'orage. Mais à mon âge, je ne vais pas m'allonger dans l'herbe au milieu des prés. Ce qui pour moi 
s'avèrerait beaucoup plus dangereux. Je risquerais de ne pas pouvoir me 
relever, de me coincer à tout jamais et d'attrapper la grippe ou un rhume 
qui me couterait la vie. Il faisait très sombre, et seuls les éclairs 
illuminaient le paysage quelques instants. Mais j'avais remarqué autre 
chose qui n'avait rien à voir avec les éclairs. Là où je sais que se trouve un 
ruisseau, en deçà de l'arbre où je me trouvais, il y avait comme des 
petites lumières. Pas des étincelles, non, des petites lueurs qui dansaient les 
une avec les autres. C'était très étrange. Ce phénomème ressemblait à des feux 
follets. Mais compte tenu du temps, ile semblait improbable que des 
flammes même minuscules aient pu tenir longtemps sous cette pluie. Je ne manquais 
cependant pas de me signer. Ce phénomème était beau et envoutant, mais 
aussi inquiétant. Je ne pouvais détacher mon regard de ces lueurs qui se 
reflétaient dans le cours d'eau et j'ai du mal à savoir combien de temps 
j'ai observé cela avant de bouger. J'ai toujours été très curieux et je 
n'avais qu'une envie, c'était de m'approcher. Alors je me lançais. 
J'avançais doucement, mais plus je m'approchais et plus je me demandais ce 
dont il pouvait bien s'agir. L'orage ne diminuait pas, mais je ne sentais 
plus la pluie. 

...Arrivé à quelques mètres, les lumières qui tourbillonnaient se figèrent en l'air. Je pensais immédiatement 
qu'elles m'avaient repérés. J'arrétais alors ma progression. Après avoir passé 
plusieurs minutes à s'observer mutuellement (j'imagine qu'elles m' 
observaient, bien qu'à ce moment là, je me demandais encore s'il ne s' 
agissait pas de gros insectes luisants). Les lumières reprirent leur 
activité tourbillonnante et moi, je repris ma progression. Arrivé à 
environ 3 mètres, je vis vraiment ce dont il s'agissait. Quoique le terme vraiment 
ne corresponde pas tout-à-fait à ce que j'avais devant les yeux. 
Des fées, c'était des fées. Des petits êtres de sexe féminin avec des ailes dans le dos. Une lueur bleue 
phosphorescente émanait de leur corps. Elles jouaient ensemble en poussant de drôles de petits cris qui ressemblaient vaguement à des rires ou à des pépiement d' oiseaux. A ce moment précis, je ne bougeais plus du tout. 

Je me souvenais pas de ma vie d'avoir aussi peu bougé. Sauf peut-etre à la chasse devant du gibier. 

Maintenant que je voyais ce que c'était, j'étais sûr qu'elles m'avaient 
repéré. Comment pouvait-il en être autrement. Les fées savent forcément 
tout de tout. En fait, j'étais étonné mais pas comme pourrait l'être un citadin. 
Dans nos régions, nous sommes habitués aux histoires de lutins, de 
farfadets, de diables et de lavandières qui lavent les linceuls des morts 
la nuit. Ces histoires nourissent nos veillés. On n'y croit pas, mais on 
évite certains soirs de prendre certains chemins, seuls de surcroit. On évite 
d'ailleurs d'avoir à sortir le soir ou bien, contraint et forcé, muni 
d'une lanterne accompagné de préférence, et surtout pas autour de minuit. Mais 
aujourd'hui, ce n'était pas le soir, même si tout était disposé à nous le 
faire croire. Je n'avais pas remarqué au départ, mais les fées jouaient 
avec un lapin. Elle lui tiraient les poils du museau. Cela n'avait pas l'air 
de lui déplaire. J'avais peur qu'elles m'aient vu, mais finalement non. Après 
un mouvement léger, le lapin, qui lui me vit s'enfuit d'un bond aussitôt. 
Au même moment, les fées se regroupèrent et me regardèrent. Je voyais 
qu'elles ne savaient que faire. De mon côté, je ne bougeais plus. Inutile de dire 
que j'étais trempé car l'orage n'avait pas faiblit. Je me retrouvais 
finalement dans la position que je redoutais au départ, allongé dans l'herbe. 
Demain, si j'étais encore en vie, je souffrirai attrocement de courbatures 
et de rhumatismes. Les fées semblaient se parler. La pluie ne les touchait 
pas. On dirait que la lumière qui les entourait les protégeait des gouttes. 
Je ne comprenais évidemment pas un traitre mot de ce qu'elles se 
racontaient et pourtant ce langage me semblait familier. Les sons étaient très aigües 
et très faibles, un peu comme des petites souris. Ce n'était pas très 
agréable. 
De temps en temps, il y avait des hausses de ton et puis tout redevenait 
normal. 
J'étais là comme un idiot, 68 ans, allongé dans l'herbe, sous la pluie à 
attendre la décision de mesdames les fées. Au moment même où je me disais 
cela, je décidais de me relever. Toutes fées qu'elles soient, elles 
n'allaient tout de même pas m'en empêcher. Cela les cloua sur place et mit 
fin à leurs conciliabules. Aussitôt, l'une d'elle vola vers moi et 
m'ordonna avec une voix qui semblait venir d'ailleurs de me rasseoir. Cette fois 
j'avais compris. Inutile de dire que mes jambes ne m'aidèrent pas à rester 
debout. Cette voix était incroyable. Elle semblait sortir des profondeurs 
d'un gouffre. Comment un si petit corps pouvait produire un son comme 
celui-ci. Lorsque je fus assis, elle reprit la parole, cette fois avec une 
voix douce et légère. "Mortel, ce que tu as vu, tu n'aurais pas du le 
voir, en tous cas pas maintenant. Nous savons que ton cerveau ne pourra pas 
oublier cet instant, nous n'allons même pas essayer de te le faire oublier. 
Alors, que comptes-tu faire maintenant ? " 
Je restais bouche bée. Maintenant, normalement, j'allais boire un café au 
chaud avec quelques gâteaux, s'il n'y avait eu ce maudit orage. Je 
n'allais tout de même pas répondre celà. "Je ne sais pas." C'est tout ce que je 
réussis à articuler. "Mortel, tu as le choix. Sois tu racontes ce que tu 
as vu. Auquel cas, personne ne te croira tu passeras pour un fou et nous 
disparaitrons de ton existence à tout jamais. Ou bien tu ne racontes rien 
à personne et nous nous reverrons prochainement. Nous nous connaissons déjà 
Louis Rossignol, même si tu ne t'en souviens pas. Nous savons que tu es un 
homme curieux. Aussi, nous te laissons le choix. 
Le choix ne fut pas difficile à faire. Quand on rencontre des fées, on n'a 
plus jamais envie de les quitter. Je ne comprenais cependant pas ce 
qu'elles voulaient dire par "nous te connaissons déjà". 
"Nous attendons ta réponse." Ma pensée n'était plus si rapide et j'avais 
du paraitre indécis. "J'accepte, j'accepte", hurlais-je. J'accepte de vous 
revoir et de ne rien raconter. A ce moment, je ne me rendais pas compte 
combien celà allait être compliqué. "Mortel, promets sur ton honneur." Et 
je promis. Une des fées me remit un pendentif censé m'apporter paix, 
prospérité, chance et félicité. Puis elles disparurent, leur petite 
lumière s'éteignant dans la pénombre de cette fin d'après-midi orageux. Je n'avais 
plus qu'à rentrer mon pendentif dans la poche et une formidable envie de 
tout raconter. Mais j'avais promis. La pluie s'était arrêtée quelques 
minutes après, faisant place à une douce chaleur qui s'annonçait étouffante pour le soir. 
Une fois arrivé à la maison, ma sour ne manqua pas de me demander ce qui 
m'était arrivé. Je répondis logiquement que je m'étais laissé prendre par 
l'orage. Ce qui était vrai. 
"Regarde-toi, tu as vu dans quel état tu t'es mis" me dit-elle. 
Il est évident que je faisais peine à voir : ma chemise débraillée, mon 
pantalon trempé et mes pieds nageant dans mes sabots. 
"Je vais te faire chauffer de l'eau, tu vas te laver et me donner tes 
vêtements à sêcher." J'obeis. 
Je fais une appartée pour expliquer ma situation familiale. Ma femme est 
décédée et vu mon âge, j'ai préféré m'installer avec ma sour et son mari. 
Ma fille habite à Paris et je ne la vois pas souvent. 
J'allais me laver, ce qui me fit un bien fou. Et je donnais mes vêtements 
à ma sour. En vidant mes poches, elle trouva le pendentif et dès que je fus 
sorti, elle me demanda ce que c'était. Je ne me souviens même plus de ce 
que j'ai répondu exactement. En tous cas, je lui arrachais des mains et cela 
la surprit. Elle me fit son refrain classique: 
"on s'occupe de toi et voilà comment Monsieur vous remercie" et blabla et blabla. 
Je préférais la laisser causer et j'allais dans ma chambre au premier. 
C'est là que je décidais de rediger le journal de cette incroyable expérience. 
Quand vint l'heure du dîner, tout était oublié. J'avais hâte qu'on soit le 
lendemain pour pouvoir essayer les vertues soi-disant magiques du 
pendentif. 
Il y avait une loterie au village et j'étais bien décidé à jouer et à 
gagner. Je n'avais pas très faim et je me sentais fatigué. Les épreuves 
comme celle-ci ne sont plus faites pour moi. Je montais me coucher après 
avoir peu mangé. La nuit fut pénible. J'eus des sueurs froides et des 
aigreurs d'estomacs. Je finis par m'endormir vers le matin et me 
réveillais très tard. Je racontais ma nuit difficile à ma sour et son mari mais ils 
ne s'en étonnèrent pas. Moi non plus d'ailleurs. Quand on passe plusieurs 
heures sous la pluie, à mon âge, ça pardonne rarement. Je décidais donc, 
avec regrets de ne pas faire d'exploits aujourd'hui et d'abandonner l'idée 
d'aller à la loterie. 
Le temps était magnifique et je passais l'après-midi sous le tilleul du 
jardin, me demandant quand et comment je reverrais les fées. J'observais 
les fleurs du jardin pour lesquelles ma sour se donnait tant de mal. Je 
laissais mon imagination divaguer et je voyais des fées voleter dans les massifs de 
lupins. Je faisais un croquis de ma vision. J'espérais un nouveau contact 
avec impatience, mais je sentais que ce ne serait pas pour aujourd'hui. 
La journée se passa calmement. Ma sour et son mari allèrent au village. 
Ils jouèrent à la loterie, mais évidemment ne gagnèrent rien. Ah si seulement 
j'avais été avec eux. 
MARDI 5 AOÛT. 
J'ai attendu toute la journée, mais pas la moindre manifestation. Je suis 
retourné près du ruisseau, mais j'ai juste aperçu quelques ragondins qui 
se sont enfuis à mon approche. 
Si j'avais eu mon fusil... 

MERCREDI 6 AOÛT 
C'est sûr, elles ne viendront plus. Elles m'on menti. Je suis là à tenir 
une promesse dont tout le monde se contrefiche. Si elles ne se manifestent 
pas demain, je dis tout. 

JEUDI 7 AOÛT 
Dieu que les journées d'été peuvent être longues. Finalement j'ai 
réfléchi, je ne dirai rien. Pour quoi faire ? Elles ont raison. Personne ne me 
croirait de toutes façons. J'en serais quitte pour être ridicule. On a 
déjà tendance au village à me concidérer comme "un drôle de gars". Ce n'est 
vraiment pas la peine d'en rajouter. 

VENDREDI 8 AOÛT 
Ce matin, j'ai été réveillé par un petit bruit au volet, un petit toc 
répétitif. Je pensais d'abord à un oiseau, mais les piverts ne s'attaquent 
pas aux volets. J'ouvrais la fenêtre. Elle était là ou plutôt, il y en 
avait une, une fée. Elle me dit de m'habiller et de la suivre. Il était tôt, 
cinq heures environ. J'enfilais rapidement mes vêtements et je descendais. 
J'avais toujours le porte-bonheur sur moi, et il me semblait, ces derniers 
temps, moins sentir mes vieilles douleurs. Il faisait encore nuit et 
c'était presque amusant de suivre cette flamêche bleue dans la nuit. Nous suivîmes 
la route un moment puis nous prîmes un sentier qui s'enfonçait dans les 
bois. Jusque là, j'arrivais encore à imaginer où nous nous trouvions : 
forêt des Bruges, premier chemin, bifurcation à gauche. Et après je ne sais plus. 
Un chemin, un sentier, une clairière, à nouveau le bois pour finir au pied 
d'un vieux chêne. Les fées étaient toutes là (du moins, c'est ce que je 
croyais). Elles couraient sur les mousses et voletaient de l'une à l'autre. 
"Le mortel, le mortel" criaient-elles. Cette nuée de loupiottes bleues me 
ravissait. L'un d'elle sortit du rang. "Sais-tu mortel que tu as mis la 
colonie en émois. Nous t'observons depuis plusieurs jours et nous savons 
que tu as tenu parole. L'envie est souvent si forte pour un mortel de parler... 
Tu as bien fait de tenir ta langue. Si tu avais parlé, les jours qui 
auraient suivi, tu aurais commencé à perdre la raison puis tu aurais fini 
fou. Ils sont nombreux dans les hopitaux pour déséquilibrés à avoir croisé 
notre chemin. Si l'intention t'en prends un jour, réfléchis bien. 

Nous traversâmes d'autres bois, je reconnus quelques endroits où je venais 
chaque année ramasser du muguet. Je connaissais bien cette forêt, mais là 
j'étais perdu. Je n'avais aucune idée de l'endroit où elles voulaient 
m'emmener. Mais la curiosité était trop forte. J'avais confiance. Mais 
peut-être avais-je tort. 

Nous finîmes par arriver dans une petite clairière au milieu d'une forêt 
de hauts sapins. Le sol était recouvert d'épines. Et là, où rien ne survit 
sauf quelques pauvres champignons, se trouvait une petite mare (je dis mare, 
mais il y avait très peu d'eau). Il y poussait toutes sortes de plantes assez 
rares dans cette région. C'était comme une oasis au milieu des bois. 
Toutes les fées étaient réunies autour. Elles n'étaient pas là pour moi 
évidemment. Non elles étaient là pour quelquechose de précis et semble 
t-il important. Elles avaient l'air d'attendre un événement particulier. Elles 
parlaient et chantonnaient. Elles bourdonnaient tel un essaim d'abeilles. 
Le jour n'allait pas tarder à se lever. 
Quand elles me virent, elle s'approchèrent et m'entourèrent. J'étais 
irradié de leur lueur bleutée. Leurs petites ailes me frolaient le visage. 
Soudain une première trouée de lumière traversa les arbres. A partir de ce 
moment-là, je n'éxistais plus. Toutes les fées s'envolèrent vers cette 
lumière et entamèrent une drôle de danse. Les rayons du soleil semblaient 
glisser sur elle comme l'eau d'une cascade. Et puis la lumière devint plus 
violente et je dus fermer les yeux. Lorsque je les rouvrais, la plupart 
des fées avaient disparu. On m'expliqua après, qu'elles étaient reparties en 
faérie, pays des fées. Il semble que les premiers rayons du soleil, dans 
certains endroits, servent de porte pour accéder au royaume des fées. Je 
me demandais, pourquoi moi, simple mortel, on m'avait permis d'assister à ce 
spectacle miraculeux. 
Je restais là de nombreuses minutes à regarder les dernières fées qui 
disparaissaient dans les bois. Ma rêverie se prolongea un moment, mais une 
fée vint me tirer de cet état et me parla. 
"Tu dois te demander pourquoi nous te montrons tout cela. Sache 
qu'autrefois, tu as bien agis pour les fées, et les fées t'en sont 
redevables." 
Je m'étonnais et me demandais bien de quoi elles voulaient parler. Je 
sentais bien cependant que je ne pourrais avoir plus d'informations cette 
fois-ci. 
J'osais demander son nom à la fée qui me faisait l'honneur de m'adresser 
la parole. Elle s'approcha de mon oreille et murmura "Maerope". Puis elle 
commença à me raconter tout un tas de choses. Certaines étaient claires, 
d'autres pas. Je comprenais qu'elle me parlait de sa vie, mais j'étais 
incapable de donner un sens à ce qu'elle disait. Cela me procura une douce 
sensation dans l'oreille qui finit par envahir tout mon corps et je 
m'endormais. 
Quand je repris mes esprits, toutes les fées avaient disparu. 
Je rentrais chez moi machinalement, sans trop savoir comment. Le chemin du 
retour était comme inscrit dans ma tête. Je fus à la maison en très peu de 
temps, contrairement à l'aller qui m'avait semblé durer des heures. 

Quand j'arrivais, j'étais très fatigué. Il était environ onze heure du 
matin et ma sour me tomba dessus dès que je franchis le pas de la porte. Tout le 
monde s'était inquiété de mon absence. Ma sour me traita de fou, elle me 
dit que les gens du village avaient raison. Je lui répondais que je me fichais 
des gens du village. "Ou étais-je passé, qu'avais-je fait ?", les 
questions 
fusaient. Elle me dit même que si je n'avais pas eu mon âge, elle aurait 
pu croire à une aventure sentimentale. Ma sour est folle. Je n'essayais pas 
de me justifier et dit simplement que je m'étais réveillé tôt et comme je 
n'arrivais pas à me rendormir, j'étais sorti. Ma sour à qui ils n'arrivait 
plus rien depuis longtemps m'en voulait beaucoup de lui cacher des choses. 
Au déjeuner, j'eus droit à de nombreux sous-entendus. Son mari dans ses 
cas là se faisait tout petit et disparaissait soit dans une autre pièce, soit 
derrière son journal, ou même derrière sa femme. Cela énervait beaucoup 
cette dernière qui se demandait souvent où se trouvait son bougre de mari, 
alors qu'il était simplement derrière elle. Je finissais le repas 
rapidement 
et grimpais à l'étage, dans ma chambre, les laissant seuls tous les deux. 
Je rédigeais les lignes qui précèdent. 
Quand je redescendais l'après-midi, ils s'étaient calmés. Le mari de ma 
soeur me parla un peu. Il me supplia d'être un peu plus aimable avec sa femme, 
parce qu'après, c'est lui qui devait la supporter. Je lui promis de faire 
de mon mieux, tout en sachant, que cela ne suffirait pas. 
J'étais assis dans un fauteuil quand il me prit soudain l'envie de 
dessiner. 
Cela n'avait aucun sens : un scarabée, ou plus précisément une lucane, une 
grenouille, une feuille, et un visage. Le tout parcouru de lignes et de 
points. Qu'est-ce-que cela signifiait ? D'où sortaient ces idées. Celà 
m'inquiétait. Les fées étaient sûrement pour quelquechose dans cette 
affaire. Ce dessin me hanta toute la soirée et je ne parlais plus. Une 
autre chose me préoccupait : qu'avaient-elles voulu dire par : autrefois tu as 
bien agi pour les fées. Je ne voyais absolument pas à quoi elles faisaient 
référence. 

SAMEDI 9 AOÛT 
Cette nuit, j'ai fait un rêve étrange. Je voyais un jeune enfant ramasser 
une fée par terre. Cela me réveilla et je gardais les yeux ouverts un 
moment. Tout cela commençait sérieusement à me perturber. 
Je me suis levé épuisé. Je vois ma sour de plus en plus inquiète. J'ai 
fait la sieste et je me suis réveillé pour le dîner. Tout le monde a été aux 
petits soins. Des voisins sont passés en fin de soirée pour prendre de mes 
nouvelles. Dieu sait ce que ma sour a encore été raconter autour. En tous 
cas, ce soir, je me sens mieux. Je suis remonté dans ma chambre et j'ai 
refait un drôle de dessin. Je me suis arrêté en route, mais où m'aurait-il 
emmené celui-ci. Il y a une fée, un arbre , les point A, B, C et un début 
de scarabée. 

DIMANCHE 10 AOUT 
A quatorze heures, après le déjeuner, j'ai annoncé que je devais, cet 
après-midi me rendre aux Roches de Mazuras. Ma sour et son mari m'on 
regardé éberlués, chacun se demandant sûrement ce que je pouvais bien vouloir 
aller faire la-bas. Moi-même, je me le demandais, car je n'avais aucune raison. 
J'avais juste un besoin impérieux. Ma sour me rappela avec une certaine 
ironie que cela se trouvait à une quinzaine de kilomètres, chose que je 
savais. J'avais même décidé de lui emprunter son vélo. "A ton âge, tu 
auras l'air malin sur ton vélo. Dès la sortie du village, on n'aura plus qu'à te 
ramener sur une civière." Au fond elle n'avait pas tort, mais je me 
sentais en pleine forme et il fallait que j'y aille. Je partais sur le champ. En 
façade, ma sour souriait mais je savais qu'elle était vraiment inquiète. 
Le chemin ne me paru ni long, ni difficile et j'en fus le premier étonné. 
J'attribuais ma vitalité au pendentif que j'avais eu la bonne idée d'enfiler hier. 
Arrivé sur les hauteurs de Mazuras, le temps s'annonçait menaçant, mais je 
savais que l'orage ne serait pas pour ce soir. A l'entrée du chemin, passé 
la petite chapelle et l'ancien cimetierre, je descendais de vélo et 
décidais de finir à pied. Les roches de Mazuras constituent un promontoir duquel on 
peut voir tous les environs. Cet endroit possède un charme très étrange, 
presque mystique, et ce déjà bien avant les débuts de cette histoire. 
Arrivé au bas des roches, je déposais ma bicyclette et finissais de grimper à pied. 
En haut, évidemment, Maerope m'attendait. 
"Te voila enfin. J'avis peur que tu n'entendes pas mon appel. Comment te sens-tu ?" 
Je lui répondais que tout allait bien mais que je commençais à avoir de 
drôles d'images dans la tête. Je lui parlais des dessins et elle me 
répondit simplement que c'étaient les connaissances qui entraient en moi. Elle me 
demanda si j'avais rêvé et je lui répondis que oui. Je lui racontais le 
rêve avec l'enfant et la fée. 
"Enfin tu te souviens." 
Je ne voyais pas ce qu'elle voulait dire. 
"Quand tu étais enfant, ne te souviens-tu pas d'avoir empêché le chat de 
la maison de dévorer une fée ?" 
L'épisode qu'elle me remémorait m'avait marqué, mais il ne s'agissait pas 
d'une fée. 
Dans la maison où j'avais passé mon enfance, il y avait un chat qui 
ramenait 
régulièrement des souris et des oiseaux morts. On l'avait surnommé 
Lucifer. 
Je me souvenais en particulier d'une fois où j'avais entendu des petits 
cris et des miaulements. J'étais sorti de la maison et j'avais surpris Lucifer 
avec un oiseau dans la bouche. J'avais du lui courir après pour l'empêcher 
de dévorer le pauvre volatile. Il avait failli m'échapper, mais je m'étais 
jeté sur lui juste avant qu'il ne sorte du jardin. J'étais revenu le 
pantalon déchiré, mais l'oiseau était sauf. 
"Es tu certain qu'il s'agissait d'un oiseau ?" 
"Bien sûr qu'il s'agissait d'un oiseau. Que veux tu que ce fut d'autre ?" 
"Réfléchis. Ferme les yeux et repense à ce moment." me dit-elle. 
Les images étaient floues. Je voyais Lucifer avec son oiseau. Je me voyais 
enfant, l'oiseau dans les mains. Je me voyais le poser sur le sol et je le 
voyais s'envoler. 
Maintenant que j'y pense, cet oiseau ressemblait plus à une libellule qu'à 
un oiseau. Enfin, ce n'était pas non plus une libellule. 
"C'était une fée." dit Maerope. 
La conversation dura un petit moment et elle finit par me convaincre. 
Maintenant, je voyais Lucifer avec une fée dans la bouche. 
Elle m'expliqua que cette fée avait substitué dans mon esprit, son image à 
celle d'un oiseau. 
"Pourrais-tu m'expliquer pourquoi je suis là et pourquoi tu me racontes 
tout cela ?" 
"Tu es là parce que la fin est proche." 
Que voulait-elle dire ? 
"Je vais mourir?" 
"Je suis ici pour assouvir ton désir de connaissances." 
"Répons-moi, je vais mourir ? Je suis vieux, je peux l'accepter." 
"Non, ce n'est pas celà. Approche-toi." 
De nouveau, elle me parla dans l'oreille. Elle me racontait tout sur les 
fées et j'écoutais émerveillé. Le ciel n'existait plus. Le sol n'existait plus. Il n'y avait plus rien autour. J'étais fasciné et je voulais tout mémoriser pour tout écrire. 
Et puis à nouveau, je me réveillais seul au pied des rochers. J'avais du mal à respirer et une curieuse douleur dans le bras gauche. J'avais sûrement du m'endormir dessus. 
Plus de fée. Le ciel était noir, c'était la nuit. 
A cette heure, l'endroit était encore plus étrange. La lune éclairait les pierres blanches rassemblées sour le bois de sapin à l'entrée du chemin. 
Je passais devant, mon vélo à mes côtés. Ces pierres m'évoquaient des rites paiens, proches de la sorcellerie. Ces pierres avaient-elles un histoire. Je hatais le pas. 
Le cimetierre et la chapelle près de la route prenaient un sapect lugubre et j'avais hate d'être rentré. Le chemin du retour fut difficile. Heureusement, la lune éclairait la route. J'arrivais épuisé. 
Ma sour et son mari étaient heureux de voir que je n'étais pas mort. Mais leur regard n'avait rien pour me rassurer sur mon état physique. 
Tout ce qu'ils trouvèrent à dire c'est "ça va ?" 
Je répondis juste que j'étais fatigué et que préférais aller me coucher. 
Ma sour avait fait le ménage. Cela se voyait et je n'aimais pas ça. 
Je sortais le journal du bureau et trouvais encore le courage de rédiger l'aventure de cette journée. Demain, je ferai un chapitre entièrement dédié à ce que m'a dit Maerope. J'espère ne rien oublier pendant la nuit. 

LUNDI 11 AOÛT 
Je viens de me lever. Je suis très fatigué. Je vais aller me laver. 
Peut-être que cela ira mieux après. 

ELLE A TOUT RACONTÉ. 
Ma soeur a trouvé le journal. Elle a tout lu. 
Ce matin je suis allé au village et quand je suis entré au café, quelqu'un m'a demandé des nouvelles de mes fées. Tout le monde a ri. Je suis rentré au plus vite. 
Elle m'a avoué qu'elle s'inquiétait alors elle est monté et a fouillé ma chambre pour voir ce que je pouvais y faire pendant toutes ces heures. que va t-il se passer. Je dois les prévenir... 

Ainsi se termine le journal. 
27 mars 2015

Hallucinogène vous avez dit

Un champignon hallucinogène pour arrêter de fumer

Marty Windle

Un champignon hallucinogène pour arrêter de fumer

Le psilocybe, un champignon hallucinogène dont le principe actif, la psilocybine, pourrait aider au sevrage tabagique. © Arp, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Un champignon hallucinogène pour arrêter de fumer

 

 

La psilocybine contenue dans certains champignons hallucinogènes pourrait aider des fumeurs de longue durée à arrêter de fumer. C’est le résultat d’une petite étude pilote qui a obtenu 80 % de réussite sur un échantillon de 15 fumeurs.

Dans les années 1950-1970, des recherches avaient porté sur l’utilisation d’hallucinogènes pour traiter la dépendance aux drogues (alcoolopioïdes). Ce champ d'étude prometteur avait été abandonné en raison des controverses suscitées par l’usage de tels produits. En 2012, des travaux ont suggéré qu'un traitement utilisant le LSD pouvait aider au sevrage alcoolique. Un article récent paru dans Journal of Psychopharmacology donne les résultats d'une recherche menée à l'université Johns-Hopkins (Baltimore) basée sur l'emploi d'un principe actif des champignonshallucinogènes, la psilocybine, pour le sevrage tabagique. 

Dans leur étude, les chercheurs ont recruté 10 hommes et 5 femmes en bonne santé. En moyenne, ceux-ci fumaient 19 cigarettes par jour et leur tabagisme s’étalait sur une durée de 31 ans. Les participants avaient tous essayé à plusieurs reprises d’arrêter de fumer, sans succès. La première dose de psilocybine fut administrée sous la forme d'une pilule à chaque participant le jour où il décida d’arrêter de fumer ; il s’agissait d’une dose modérée de 20 mg/70 kg. Des doses plus élevées (30 mg/70 kg) leur ont été données 2 semaines et 8 semaines plus tard. S’ils le souhaitaient, les participants pouvaient ne recevoir que la dose modérée lors des deux dernières sessions. L’approche clinique comportait aussi une thérapie comportementale.

Pendant chaque séance durant 6 à 7 h, les participants, qui pouvaient écouter de la musique et devaient se reposer, étaient suivis par des membres du personnel de recherche. Au bout de 6 mois, 12 participants sur 15 ont arrêté la cigarette. Du point de vue biologique, le mécanisme exact d’action de la psilocybine n’est pas connu. Mais une hypothèse est que la molécule aide à rompre le flux des pensées et des comportements addictifs qui sont ancrés chez l’individu ayant fumé pendant des années.

les traitements anti-tabac

Le taux de réussite dans cette expérience est de 80 % après 6 mois, bien meilleur que celui des thérapies existantes (si l'on ne tient pas compte de la petite taille de l'échantillon). Ainsi, lavarénicline (Champix) donnerait environ 35 % de réussite, alors qu’elle est considérée comme le médicament le plus efficace pour l’arrêt du tabac. D’après Matthew Johnson, auteur de cette étude, les autres traitements – remplacement par de la nicotine et thérapies comportementales – auraient des taux de succès inférieurs à 30 %.

Le traitement avec la psilocybine a conduit à des effets secondaires, comme une augmentation de la pression artérielle, des maux de tête ou de l’anxiété. Toutefois, d’après les chercheurs, il a été possible de gérer ces effets secondaires avec une réponse médicale appropriée. D'ailleurs, les médicaments prescrits pour le sevrage tabagique (bupropion, varénicline), pris quotidiennement, peuvent  provoquer des nausées ou des insomnies.

Selon les termes de l'article, il ne faut pas voir dans ces résultats une incitation à prendre desdrogues psychédéliques pour arrêter de fumer. On peut néanmoins imaginer qu’un médicament à base de psilocybine soit un jour administré dans le cadre d’un programme de sevrage tabagique impliquant aussi une thérapie comportementale. Cette étude n'ayant impliqué qu'un faible nombre de participants, il faut quand même rester prudent avant d'en extrapoler les résultats

 

 

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