Certains sorciers malveillants jettent des sorts quand d’autres les lèvent. Souvent, ils réalisent l’envoûtement avec des préparations redoutables composées de plantes aux vertus maléfiques qui croissent dans les ruines et les tombeaux. Ordinairement, ces herbessont cueillies à la faveur d’une nuit sans lune ou à la lueur des éclairs de l’orage en prononçant des paroles magiques. Pour ajouter à l’efficacité de la mixture, le tout est mêlé d’écume de crapaud, de restes d’animaux hideux et sinistres comme le corbeau, le hibou, le serpent et le loup… Puis, avec du sang de chauve-souris, le nom de leur victime est écrit sur un morceau de tissu refermé avec une aiguille diabolique qui sert à coudre le linceul des morts. Pour faire disparaître tous leurs pouvoirs, neutraliser leur magie et vous garantir de leurs noirs maléfices, portez autour du cou un petit sachet rempli de sel, jour et nuit. Pour démasquer une sorcière, jetez une noix sous sa chaise, elle ne pourra plus bouger ni se lever, ou présentez-lui un bouquet d'Aigremoine ; si les fleurs se fanent dans l'instant, vous êtes sûrement en présence d’un suppôt de Satan ! Pour les empêcher d’entrer dans votre maison, placez un balai en travers de votre porte d’entrée, les brindilles vers le haut et jetez une poignée de sel dans la cheminée. Une croix de branches de lauriergarantit efficacement contre les sortilèges. Aussi, avec de la chaux, tracez une croix blanche sur votre porte pour les éloigner les mauvais esprits et les démons. Pour retourner un sort jeté par un sorcier : enfoncez trois aiguilles à tricoter dans un cœur de bœuf et faites-le cuire ainsi percé, le sorcier souffrira comme si son propre cœur cuisait, il vous suppliera de lever le sort. Contre les créatures de la nuit qui se gorgent du sang des vivants, portez un collier d’ail tressé en nombre impair de gousses. Pour repousser les monstres nocturnes qui tourmentent le sommeil des petits enfants, déposez au pied du berceau un rameau d’Aubépine ou un brin d’Angélique. On prétend que le son des cloches a la vertu de conjurer les esprits malfaisants et de déjouer les plans des sorciers qui nous tourmentent cruellement. N’oubliez pas d’accompagner le tout de quelques conjurations magiques : « Esprit de l’air, de la terre et de la mer, libérez nous de ce démon et renvoyez le en enfer ! Que les sorcières dont l’âme est si noire soient privées de tous leurs pouvoirs ! Esprits malins, démons et malédictions, sortez de l’ombre et repartez dans l’autre monde, Vade retro Satanas ! Que la lumière que je porte en moi ait raison de toi, créature mortifère retourne sous terre ! Emportez leurs âmes dans le néant et dispersez tous les esprits malfaisants à travers l’espace et le temps ! Qu’il en soit ainsi ! »…
méditation active pour l ' Aura
Nettoyez votre aura en 7 minutes (version chantée) - Méditation active
mystère et fantôme histoire vécu
Notre-Dame-au-Flambeau
Madeleine était arrivée en pleine nuit. Elle était éreintée par l'interminable voyage à bord de sa petite voiture inconfortable. Elle s'était jetée sur un lit et s'était endormie aussitôt. Lorsqu'elle s'éveilla, un soleil éclatant inondait le jardin de la "Chapelle Blanche". C'est ainsi qu'on avait, depuis toujours, appelée cette vieille et belle maison qui se dressait sur une colline rugueuse perdue aux confins du Lot et de la Corrèze. Madeleine n'était pas revenue à la "Maison Blanche" depuis près de 15 ans. A la suite d'une banale dispute, elle s'était brouillée avec sa tante et n'était plus jamais retournée la voir. La tante Amélie, une solide auvergnate, avait vécu seule pendant 15 ans et puis, à l'hiver, elle était morte en laissant ses terres, sa maison et le peu d'argent qu'elle possèdait à Madeleine. Elle lui avait écrit : "Je te pardonne, je ne t'en veux pas de m'avoir laissée si longtemps seule, mais promets-moi seulement de remettre de l'ordre ici et de ne jamais vendre cette maison que j'aime".
Madeleine avait promis, sur la tombe de sa tante où elle était allée se recueillir, le premier matin, après son arrivée. Elle avait profité des vacances scolaires d'été - Madeleine était institutrice - pour installer la maison. Les premiers jours avaient été consacrés au ménage : il avait fallu aérer les sept grandes pièces, enlever la poussière, laver les parquets vermoulus à grande eau, passer des nuages d'insecticides dans les recoins, chasser les araignées, les mulots et même des chauves-souris qui avaient pris possession du grand salon où s'ouvrait une monumentale cheminée de pierre. Ensuite, Madeleine avait inspecté le grenier envahit de malles, d'armoires, de sacs et de boîtes. Il y avait là les souvenirs laissés par plusieurs générations d'hommes et de femmes : des robes de dentelles jaunies, des habits noirs encore imprégnés de parfums épicés, un haut de forme, un carnet de bal. Sur les étagères étaient rangés des livres poussièreux. Sur un mur étaient alignés des tableaux recouverts de poussière. Madeleine en épousseta un et découvrit le visage grave d'un jeune homme brun. Un regard étrangement vivant semblait animer le personnage sur la toile et Madeleine, dans un réflexe instinctif, recouvrit le tableau avec une étoffe qu'elle ramassa sur un fauteuil.
Ce fut le vendredi que l'étrange affaire commença. Vers 5 heures, alors qu'elle buvait du thé en feuilletant un album d'où s'échappaient des photographies d'une époque lointaine, Madeleine entendit tinter la cloche du portail. C'était bien la première visite qu'elle recevait depuis son arrivée : hormis la vieille Hortense, qui l'aidait au ménage, personne n'osait en franchir le seuil. Madeleine alla ouvrir. Une jeune femme se tenait devant elle. Blonde et élancée, enroulée dans une cape brune, la visiteuse souriait avec douceur. "Je suis Anne Bessières, une cousine d'Amélie, me permettez-vous d'entrer ?". Madeleine subjuguée par la voix fluide et lointaine d'Anne, s'effaça pour la laisser entrer. Anne regardait autour d'elle. "Comme cela a changé" murmura-t-elle. "Vous savez, répondit Madeleine comme pour se disculper, je n'ai fait que mettre un peu d'ordre. J'ai enlevé beaucoup de poussière, mais je n'ai encore rien touché". Anne lui adressa un sourire. "C'est beaucoup mieux ainsi". Anne s'assit dans un fauteuil devant la cheminée. "Resterez-vous longtemps avec nous ? demanda Anne. "Le plus longtemps que je pourrai. J'ai même l'intention de demander ma mutation dans la région pour y venir le plus souvent."
Anne lui sourit encore. "Avez-vous reçu la visite de notre cousin Henri ?". Madeleine fronça les sourcils. "Henri ? Un cousin ?. Je ne le connais pas". Anne de répondre : "Vous le verrez surement. Dites-lui que je suis venue. Il sera content." Madeleine s'approcha alors vers un grand bahut. "Voulez-vous boire quelque chose ?". Anne se leva brusquement. "Oh non, je n'ai pas le temps. Je voulais seulement vous rencontrer. Mais je reviendrai, je vous le promets." Et très vite, elle se dirigea vers la porte, suivie par Madeleine. Anne lui adressa un signe et disparut derrière la porte qu'elle referma. Madeleine se retrouva seule, troublée par cette visite. Elle décida d'en parler le lendemain à Hortense, qui connaissait tou le monde dans le pays. Le soir après dîner vers les 11 heures, un bruit se fit entendre. Le grincement d'une porte qui s'ouvrait. "Qui est là ?" demanda-t-elle, en se levant brusquement. Un léger courant d'air souleva un rideau. Un glissement léger se fit entendre. Une silhouette sombre se détacha dans le couloir. Un homme se tenait devant elle, drapé dans un long manteau noir. "Bonsoir dit-il avec une grande douceur. Je suis votre cousin, Henri Chabrat.". Surprise, Madeleine lui demanda : "Mais comment êtes vous rentré dans la maison ?". Le jeune homme s'avança et se montra à la lumière : "Je connais tellement bien le chemin..Je ne vous fais pas peur au moins ?". Madeleine n'osait répondre. Le visage de son visiteur la troublait au plus haut point : d'une beauté fine et régulière, il semblait illuminé par le regard noir et profond. C'était à s'y méprendre le modèle du tableau retrouvé dans le grenier.
- "Je ne fais que passer, murmura Henri. Je dois en effet rentrer avant le matin." Il regardait Madeleine. "Avez-vous retrouver la statue de Notre-Dame-du-Flambeau ?". Madeleine répondit : "Je ne sais pas de quoi vous parlez. Où se trouve-t-elle ?" Henri se pencha vers elle. Dans le mouvement qu'il fit, il découvrit ses habits noirs au col bordé de blanc, comme en portaient les prêtres dans le passé. "Elle se trouve près de l'oratoire, au fond du parc. Elle a été décapitée, mutilée : mais vous trouverez les morceaux dans le bassin asséché, sous les feuilles mortes...Je vous en prie, remettez cette statue à sa place. Moi je n'ai pas le temps : vous comprenez ? Il faut absolument que cette statue retrouve sa place dans l'oratoire." Madeleine voulut en avoir le coeur net. "Attendez-moi un instant" dit-elle à Henri. Elle se leva et monta les escaliers quatre à quatre. Armée d'une lampe de poche, elle traversa le grenier sombre et trouva le tableau. Elle l'éclaira : le personnage du tableau était bien le cousin Henri ! Madeleine prit le tableau et redescendit dans le salon. "Regardez, s'exclama-t-elle, ce que je viens de trouver...". Henri avait disparu. Madeleine, le coeur battant, reposa le tableau sur le fauteuil, courut à la porte, sortit dans la nuit : elle n'aperçut que des écharpes de brouillard flotter dans l'ombre. Lorsqu'elle revint, elle examina la tableau plus attentivement. Elle pâlit et porta la main à son coeur : la toile avait été peinte en 1867. Cent ans auparavant !
Le lendemain, elle se rendit à l'oratoire, recouvert de lierre, à demi en ruines, qui se dressait au fond du jardin. Elle eut toutes les peines du monde à en pousser la porte vermoulue. A l'intérieur, elle vit un autel recouvert de toiles d'araignées et de moisissures. Et de part et d'autre, deux pierres tombales. En tremblant, Madeleine s'approcha et frotta la pierre pour déchiffrer le nom inscrit dessus. Ce qu'elle découvrit la fit frémir : "Henri Chabrat - 1829-1867". Elle joignit les mains et demanda au ciel de lui donner un peu de courage. Puis, elle entreprit de déchiffrer l'inscription de l'autre tombe : "Anne Bessières - 1841-1867". Madeleine avait reçu la visite de deux cousins morts depuis un siècle. Dans les jours qui suivirent, sur les instructions de son cousin Henri, elle fit creuser près de l'oratoire et retrouva la statue de Notre-Dame-au-Flambeau. Elle récupéra les morceaux manquants à cette statue dans le bassin asséché et fit replacer la statue restaurée dans l'oratoire, entre les deux tombes. Ce n'est que beaucoup plus tard, en lisant des lettres retrouvées dans le grenier, que Madeleine put reconstituer l'extraordinaire histoire qui s'était déroulée à la Chapelle Blanche. Cent ans plus tôt, promis à la vocation religieuse, Henri Chabrat avait rencontré Anne Bessières et était tombé amoureux d'elle. Ne pouvant renier ses voeux sacerdotaux, il avait préféré être uni dans la mort avec celle qu'il aimait plus que tout. Après avoir tué Anne, il s'était tué lui-même en laissant dans une lettre d'adieu, sa dernière volonté : reposer à jamais dans l'oratoire de la Chapelle Blanche, sous la protection de Notre-Dame-au-Flambeau.
La propriété avait été dévastée, pendant la dernière guerre, par les troupes allemandes d'occupation. L'oratoire avait été saccagé, la statue mutilée et abandonnée dans le jardin. Les occupants de l'oratoire n'avaient eu cesse de retrouver la paix : ils étaient apparus à plusieurs reprises à la vieille Amélie, qui était bien trop âgée pour entreprendre des recherches et qui - elle l'avouait dans une lettre - n'osait confier à personne son étrange secret. Depuis que la statue de Notre-Dame-au-Flambeau protège la tranquilité de l'oratoire, depuis que les tombes de Henri et d'Anne ont été nettoyées et régulièrement fleuries, Madeliene n'a plus jamais reçu la visite de ses lointains cousins.
Comme quoi l'amour peut défier les siècles...
le mystère de Jean Claude Pantel ufologie
LE MYSTÈRE Jean Claude PANTEL sur Fréquence Evasion.
OUIJA DANGER
Beaucoup d'adolescents attirés par l'irrationnel se servent du Ouija, par curiosité, pour essayer de voir si l'au-delà est une réalité.
Le "Ouija" est formé d'une planche avec des lettres et des chiffres sur lesquels on déplace un verre ou une planche de bois. Par l'intermédiaire de cet "appareil" on rentre en contact avec les défunts prétend le spiritisme.
Le problème est que le "Ouija" est un moyen par lequel les défunts, mais aussi les entités, se manifestent. Je précise entités, car ces êtres sont souvent primitifs. Les personnes utilisant le "Ouija" leur donnent le moyen d'avoir la mainmise sur elles. Nous risquons en l'utilisant de nous faire posséder par un être du bas astral dont le seul but sera de s'amuser avec notre corps physique qu'il habitera et de nous le restituer que peut-être plus tard...
Pour l'anecdote, le film L'Exorciste est tiré d'un fait divers réel dont le principal intéressé est un garçon qui utilise le "Oui ja" en lien avec son "ami" qu'il nomme "le capitaine" qui prendra possession de son corps. On connait la suite. Dans le film, c'est une jeune fille qui a été choisie plutôt qu'un garçon afin de donner un aspect plus "croustillant" à ce film d'épouvante.
Comment une entité peut-elle parasiter la communication avec un défunt?
Nous remarquons que, dans bien des cas, l'entité ne présente pas au départ son identité réelle afin d'endormir la confiance de ceux qui l'invoquent, allant jusqu'à donner des détails du passé de la personne appelée, n'ayant pas trop de problèmes pour répondre de façon précise à ce qu'attend cette personne, alors qu'elle n'a fait que prendre ces informations dans la pensée de celle-ci.
- Premier Témoignage a écrit:
- "Une de mes amies m'avait raconté avoir effectivement utilisé le "Oui ja". Ce jour-là l'entité s'est présentée après un bon moment comme étant le diable. Elle a eu une peur terrible, car ne voyant quasiment pas d'un oeil elle avait toujours craint de perdre l'autre. Il n'en fallait pas moins pour que l'entité ayant cette information en profite pour la terroriser. Rappelons-nous que plus il y a de peur qui est dégagée de la part des participants, plus l'entité se nourrit de cette énergie qui s'échappe de ces participants".
Ce que l'on ignore, c'est que lors d'une séance de "Oui ja", le corps astral d'un participant, souvent le plus fragile, se déboite légèrement à cause de cette mise en phase avec l'autre plan, laissant ainsi une brèche à toute entité pouvant prendre possession de son corps physique qui le vit, la sensation d'être plus légère et de planer un peu. S'il n'y a pas de danger, il se réincorporera un peu plus tard de façon naturelle.
- Deuxième Témoignage a écrit:
- "Il est déjà arrivé lors de séances de spiritisme qu'une jeune fille, faisant partie d'une bande de jeunes, essaie avec ses amies de contacter son père décédé. Une entité s'est donc présentée comme étant son propre père, prétendant que c'est bien lui qui leur répond leur donnant plusieurs messages comme preuves. C'est lors de la 2eme ou 3eme séance que son père est venu du plan où il se trouvait pour leur demander d'arrêter, précisant que ce n'est pas lui qui leur répond, que ce qu'ils font est dangereux car ils ne savent pas à qui ou à quoi ils ont affaire."
Le problème c'est que le corps physique est laissé vacant, à la disposition de l'être qui as été invoqué et qui voit parfaitement ce qui se passe.
Cette jeune fille croyant en toute sincérité converser avec son père était plutôt la proie d'une entité malsaine. Dans ce cas c'est le père, voyant le danger à distance, qui est intervenu pour avertir sa fille d'arrêter tout. Le père, pour venir les avertir, s'est mis lui même en danger.
Ces entités du bas astral ont la faculté d'entendre télépathiquement ce que nous pensons, comme s'ils entendaient une radio, piégeant ainsi ceux qui les invoquent.
Les risques de possession
Le plus grand risque étant évidemment la possession qui peut se décliner de deux manières:
- La possession d'un défunt autre que l'intéressé. Cette personne, ne voulant pas monter vers les plans astraux qui l'attendent, préfère ainsi rester attachée à la terre et profiter d'un corps chaud pour revivre comme s'il était encore sur terre.
- La possession d'une entité du bas astral est plus difficile à appréhender, ce sont des êtres qui sont à l'affût de toute perte d'énergie humaine pour s'en nourrir, aux dépens de leur victime. Lorsqu'elles incorporent le corps d'une personne, elles en profitent, tirant leur victime vers le bas. Celle qui le subit se retrouve rapidement dans des hôpitaux psychiatriques.
Le problème est que les symptômes sont similaires à ceux de la démence. La personne aura beau appeler au secours, elle pourra parfois reprendre le contrôle de son corps physique, mais là où elle se trouve, qui pourra l'entendre? Elle sera coincée dans son corps astral avec une entité qui piègera son corps physique, le dirigeant comme si c'était le sien. Dans les hôpitaux psychiatriques, les infirmiers chercheront à la calmer, la mettant dans un état passif à coups de calmants. Cela ne résoudra aucunement son problème, laissant la victime dans un profond désarroi et dans l'incompréhension la plus totale.
Pourquoi y a t'il plus de risques d'avoir une entité que le défunt appelé?
Le "Oui ja" est une des portes pouvant mener vers le bas.
Il ne peut appeler que ceux qui sont sur les plans vibratoires près de la terre, correspondant aux êtres du bas astral qui vibrent à des fréquences proches de nos niveaux physiques et n'ont pas de difficulté pour être sur nos plan qui leur est quasi similaire.
C'est pour cette raison que nous avons beaucoup plus de probabilité d'appeler une entité plus ou moins primitive qu'un être supérieur.
Jeteurs de sorts
Les Annunakis
Les Secrets De L'être Humain a été Créé Par Les Annunakis || Documentaire Ovni 2016 HD ||