Sites nucléaires et survol

Le survol de nos sites nucléaires par de soi-disant drones nous autorise a nous poser des question légitimes a ce sujet.
Toutes personnes ayant pu observer le survol de sites nucléaires ou de sites sensibles, peuvent me contacter à perronnet.serje@orange.fr(Anonymat assurés
De nombreux sites nucléaires ont été survolés par des « soi-disant » drones, certains à plusieurs reprises. Les 19 et 30 octobre, ont eu des survols simultanées de centrales pourtant géographiquement éloignées ont été observées, mettant les autorités dans l'embarras. En effet, 5 sites ont été survolés simultanément le même jour à 2 heures d'intervalles. Ce qui laisse entendre le déploiement de moyens et de personnels conséquent. 
Sur 19 centrales nucléaires en France, 18 ont fait l'objet de l'incursion d'un ou plusieurs drones. En tout, pas loin de 120 survols peuvent être comptabilisés :
La centrale de Creys-Malville, en Isère, a été l'une des premières survolées, le 5 octobre.
Ce site en cours de démantèlement a été à nouveau « visité » par un engin supposé sans pilote un mois plus tard, le 3 novembre. Mais d'autres centrales ont été survolées déjà à partir du mois de mai précédent.
Nous pouvons recenser avec certitude : 
Cattenom (Moselle) les 11 octobre et 10 novembre.
Le Blayais (Gironde) le 13 octobre.
Chooz (Ardennes) le 19 octobre.
Gravelines (Nord)le 19 octobre.
Le site du Bugey (Ain) a été survolé quatre fois entre le 19 octobre et le 6 novembre.
La centrale de Nogent-sur-Seine (Aube) a été la première à être survolée en 2015 : deux drones ont été aperçus au-dessus de ce site qui avait déjà été visité le 19 octobre.
Flamanville (Manche) le 31 octobre.
Penly (Seine-Maritime) les 31 octobre et 13 novembre.
Golfech (Tarn-et-Garonne) les 31 octobre et 12 novembre, ou un hélicoptère a même pourchassé l'un de ces drones sans l'intercepter. 
Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) le 31 octobre.
Dampierre-en- Burly (Loiret) les 31 octobre et 2 novembre.
Fessenheim (Haut-Rhin) le 31 octobre et le 18 novembre.
Saint-Alban (Isère) le 5 novembre.
Marcoule (Gard) les 6 et 18 novembre.
A ces centrales, il faut ajouter le siège du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) de Saclay, dans l'Essonne, survolé en octobre, ainsi que la base militaire de l'Ile-Longue, dans le Finistère, la Hague, Belleville, Bugey et Malvesi. Visée en janvier 2015. Greenpeace d'abord accusé de ces survols a formellement démenti être responsable de ces faits.
En quatre mois, les deux tiers des 19 centrales nucléaires françaises ont été survolés à une ou à plusieurs reprises. 
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