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NEWS PARANORMAL blog de Francine Perronnet
27 mars 2018

Ovni vu sur le web

L’histoire plusieurs fois millénaire des observations d’OVNI, d’extra-terrestres et d’artefacts troublants : y aurait-il eu sur Terre une civilisation antérieure à la nôtre et plus avancée ?

 

I – PRÉAMBULE

L’analyse des chroniques romaines et médiévales, des peintures, fresques, bas reliefs et sculptures, mais aussi des récits contenus dans les mythologies des peuples de la planète révèle que, de tous temps, des engins volants extraordinaires ont parcouru les cieux et que des humanoïdes vêtus bizarrement en sont sortis.

Vous allez voir que, sur 40 000 ans, il y a même une sorte d’unanimité sur les objets et les êtres décrits. A l’époque moderne c’est une autre chanson. Surtout en France où règne une autre sorte d’unanimité règne : l’establishment de la culture (Wikipedia par exemple, dirigée par des fonctionnaires) refuse obstinément de parler de la présence d’ovnis dans l’art ou de les commenter. Les savants de leur côté, universitaires donc fonctionnaires, imposent à tous des explications prosaïques à ces illustrations, complètement absurdes. Ce n’est probablement pas de la conspiration. C’est de la cécité intellectuelle, de l’étroitesse d’esprit. Que le phénomène soit extra-terrestre ou non, il est RÉEL. Nulle personne chargée de dispenser la culture n’a le droit de l’escamoter sous prétexte que cela heurte ses convictions.

Les observations étant innombrables, voilà celles que j’ai sélectionnées comme indiscutables ou difficilement contestables :

  1. 1790 : Alençon, soucoupe ardente
  2. 1680 : Médaille commémorative française (1680)
  3. 1608 : Gênes et Nice
  4. 1561 : Combat d’OVNIS en Allemagne
  5. 1450 : L’Annonciation de Carlo Crivelli (1430-1496)
  6. 1470 : Vierge à l’enfant de Domenico Ghirlandaio
  7. 1350 : Monastère Deçani
  8. 776 : Annales Laurissenses (France)
  9. – 500 : Ahura Mazda
  10. – 680 : Le sarcophage maya du roi Pacal à Palenque (Mexique)
  11. – 900 : Cosmonaute Japon
  12. – 1000 : Olmèque volant, la Venta, Mexique
  13. – 1800 environ : Ovni, avions et hélicoptères à Abydos en Egypte
  14. – 2000 Uzbekistan : ovni et ET
  15. – 2200 : stèle akkadienne victoire Nara Sin (- 2200)
  16. – 3000 : cosmonaute bolivien
  17. – 3500 : pré-olmèque engin volant et son pilote
  18. – 4000 : cosmonaute ukrainien
  19. – 6000 : cosmonaute du Tassili
  20. – 10000 : Val Camonica
  21. – 10000 : plat pierre sculpté Nepal
  22. – 10000 : Madhya Pradesh en Inde

II – PETIT HISTORIQUE SUR DEUX MILLE ANS

Petit historique des principales apparitions mentionnées dans les textes qui suffit à démontrer que les OVNIS ont une existence réelle depuis au moins 2000 ans:

  • an 60 après JC : Ecosse : Le roi Domnall Mac Murchada a été le témoin du passage d’un objet lumineux de grande taille. Cet objet sera souvent vu dans la région.
  • an 840 : Lyon, France : L’évêque de Lyon Agobard rapporte qu’après avoir été intrigué par le lynchage de 3 hommes et d’une femme, des villageois lui dirent qu’ils avaient été vus descendant d’un “vaisseau de nuage”…
  • an 919 : Hongrie : Apparition de multiples objets lumineux dans le ciel durant plusieurs semaines.
  • 927 : Reims, France : De nombreux objets sont vus au-dessus de la ville. Les habitants crurent que c’était un signe de l’apocalypse…
  • 966 : Mer du Japon : Un équipage de marchands signale avoir été réveillé par un cylindre lumineux traversant le ciel à vive allure.
  • 1015 : Tokyo : Les rues sont illuminées par 2 objets lumineux. Quelques minutes après, plusieurs petits objets blancs se dissocient des 2 principaux. L’observation dura une heure.
  • 1027 : Egypte : Des marchands sur le Nil ont vu passer un grand bâton de feu au-dessus des maisons du Caire.
  • 1254 : Abbaye de St Alban, France : L’édifice a été survolé par un objet lumineux, décrit comme un “bateau”.
  • 1411 : Arras, France : Un bâton d’acier a été vu dans le ciel pendant une heure et quart rapporte Jacques Declerc dans ses mémoires.
  • 1492 : Bahamas : Lors de son voyage, Christophe Colomb note dans son journal de bord que lui et son équipage ont observé une grande “bougie” rose traversant le ciel.
  • 1520 : Erfurt, Allemagne : Des paysans ainsi que des aristocrates voient 3 étranges objets dans le ciel. Le plus petit tournant autour du plus grand.
  • 1527 : France : Un cigare volant a été vu traversant le pays par de nombreux témoins.
  • 1590 : Italie : En pleine journée, des moines sont effrayés par le passage de plusieurs disques dans le ciel.
  • 1590 : Ecosse : Des paysans racontent avoir observé un objet tubulaire immobile dans le ciel durant quelques minutes.
  • 1644 : Océan Indien : Dans le livre de bord d’un navire marchand espagnol, il est noté une observation d’objets lumineux dans le ciel qui ont survolé plusieurs fois le bateau.
  • 1644 : Boston, USA : 2 objets sont aperçus dans le ciel de la ville.
  • 1663 : Russie : Le fermier Lievko Fiedorov du village de Mys rapporte que durant la messe, un son effroyable se fit entendre. Les gens quittèrent l’église et virent une énorme boule de feu sortant des nuages se dirigeant vers le lac puis remonta vers les nuages. Une heure plus tard, la boule de feu revint et plongea dans le lac, entraînant avec elle une barque de pêcheurs. Tous les poissons du lac furent tués.
  • 1686 : Leipzig, Allemagne : A 1h30, l’astronome Gottfried Kirch écrit dans son journal qu’il a vu une sphère de feu traversant le ciel pendant 7 minutes.
  • 1731 : Florence, Italie : D’étranges points lumineux dansent dans le ciel durant la nuit.
  • 1752 : Augermanland, Suède : Un vaisseau cylindrique suivi de petites boules lumineuses traversent le ciel du village.
  • 1755 : Lisbonne, Portugal : D’énormes sphères traversent le ciel et s’arrêtent. L’une d’entre elles part dans la direction opposée, suivie peu après par les autres.
  • 1760 : Sole, Suisse : Un astronome observe le vol d’un grand vaisseau, entouré d’un cercle lumineux.
  • 1800 : Louisiane, USA : Un objet lumineux survole la ville de Baton-Rouge.
  • 1809 : Londres, Royaume-Uni : L’astronome John Staveley témoigne dans une revue scientifique de son observation d’étranges lumières s’arrêtant puis repartant à travers les nuages.
  • 1820 : Embrun, France : Durant une éclipse de Lune, de nombreux observateurs purent voir d’étranges objets se déplaçant en ligne droite.
  • 1834 : Chutes du Niagara, Canada : Un objet carré reste en vol stationnaire au-dessus des chutes.
  • 1836 : Cherbourg, France : Des témoins ont vu le vol d’un disque tournant au-dessus de la ville qui se dirigeait vers la mer.
  • 1845 : Naples, Italie : Volant en formation, de nombreux disques traversent la ville.
  • 1845 : Londres, Royaume-Uni : de nombreux Londoniens ont vu un vaisseau rouge grimper à travers les nuages.
  • 1845 : Atlantique : Un bateau assiste à la sortie de l’eau de 3 grands objets de forme circulaire. Ils seront aperçus au-dessus de la côte un peu plus tard.
  • 1856 : France : Plusieurs observations dans tout le pays.
  • 1860 : Louisiane, USA : Lors d’un diner, les convives ont pu observer un objet lumineux de couleur rouge dans le ciel.
  • 1861 : Chili : Des témoins observent un objet volant émettant un son sourd.
  • 1870 : Atlantique : Le Capitaine Banner, commandant le navire marchand Lady of the Lake, assiste pendant 30 minutes au vol d’un étrange disque métallique.
  • 1871 : Meudon, France : L’observatoire de Meudon déclare avoir vu de nombreux objets lumineux dans la nuit. L’un d’eux se serait dirigé vers le sol et aurait atterri.
  • 1874 : Mexique : Gigantesque cigare volant observé au-dessus de Oaxaca.
  • 1877 : Pays de Galle : Une formation d’objets survola la côte. 8 objets en configuration triangulaire.
  • 1877 : Vence, France : des sphères lumineuses sortant des nuages et se déplaçant lentement vers le nord ont été vues pendant 1 heure.
  • 1879 : Golfe persique : A 21h40 et pendant 35 minutes, 2 disques lumineux frôlent la surface de l’eau devant le bateau Vultur.
  • 1883 : Mexique : L’astronome José Bonilla photographie une formation de 20 disques en plein jour.
  • 1883 : Marseille, France : Nombreuses observations de disques dans le ciel de la ville.
  • 1885 : Turquie : Observation à 21h30 d’un objet allongé et très lumineux. Le lendemain, deuxième apparition survolant des villages.
  • 1887 : Atlantique Nord : Une sphère lumineuse passe sous un bateau, émerge de l’eau et monte à grande vitesse vers le ciel.
  • 1893 : France : Plusieurs observations dans tout le pays.
  • 1897 : USA : Vague américaine, plusieurs dizaines de témoignages et témoins, photos, tout au long de l’année.
  • 1898 : Lille, France : Pendant 10 minutes, les Lillois ont pu voir une boule rouge au-dessus de la ville, en pleine journée.

III – LES OBSERVATIONS “CLASSIQUES”

L’OVNI d’Alençon, France (1790)

Aleçon, 1790

” Un OVNI atterrit près d’Alençon, en France, le 12 juin 1790. A cette rencontre étonnante assista une grande foule de badauds.

A cinq heures du matin… plusieurs fermiers ont aperçu un globe énorme qui semblait entouré de flammes… Le globe descendit lentement, oscilla à plusieurs reprises et se précipita sur le faîte d’une colline dont il arracha les plantes tout au long du versant. La chaleur répandue était si intense que l’herbe et les petits arbres commencèrent à brûler.
La sphère était encore chaude dans la soirée et une chose extraordinaire, pour ne pas dire incroyable, arriva : tout à coup, une sorte de porte s’ouvrit et une personne comme nous en sortit, mais cette personne était habillée d’une façon bizarre, elle portait un habit qui lui collait au corps et, voyant toute cette foule, elle dit quelques mots que l’on ne comprit pas et s’enfuit dans les bois en courant. Instinctivement, les paysans reculèrent de frayeur et cela les sauva, car, peu après, la sphère éclata en silence… Les témoins étaient : deux maires, un docteur… sans parler des douzaines de paysans qui étaient présents…
L’inspecteur de police Liabeuf reçut l’ordre de procéder à une enquête et de rédiger le rapport que l’on vient de lire “.

Médaille commémorative française (1680)

Médaille commérative française, 1680

Cette médaille dont le créateur et l’origine sont inconnues est datée de 1680. Elle a sûrement été gravée pour commémorer une observation marquante, un OVNI en forme de roue projetant un rayon vers le sol.

Les OVNIS de Nice, France (1608)

Les Niçois tirent sur les OVNI. (1608)

Le 5 août 1608, les habitants du Sud de la France, de Marseille à Gênes, furent témoins d’un passage d’OVNI, rapporté dans une chronique intitulée “Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes“. A Nice, les habitants virent trois étranges vaisseaux lumineux qui volèrent à grande vitesse au-dessus de la ville. Les trois machines stoppèrent près de la forteresse et descendirent juste au-dessus des eaux provoquant une ébullition et émettant une vapeur rouge-orange, le tout accompagné par un grand bruit. Les soldats tirèrent au canon sur les trois OVNI, sans leur faire le moindre mal.

A la grande stupeur des nombreux témoins, deux êtres humanoïdes à grosse tête et grands yeux lumineux, vêtus d’un combinaison rouge à écailles argentées, se connectèrent à la machine volante par des tubes, et se livrèrent pendant plusieurs heures à un travail étrange.

Combat d’OVNIS en Allemagne (1561)

Combat d'OVNIS, Allemagne, 1561

Le 14 avril 1561, l’Allemagne est parcourue par une multitude d’objets apparemment engagés dans une bataille aérienne. On rapporte que de petits globes et disques sortaient de grands cylindres.

L’Annonciation de Carlo Crivelli (1450)

Annonciation de crivelli (15ème)

Annonciation de crivelli, l'ovni

Ce tableau est extrêmement connu… et clair ! On y voit bien une soucoupe volante dans le ciel agissant directement sur la Vierge Marie pour lui annoncer sa divine maternité. Cette soucoupe laisse voir les têtes, auréolées, de personnages sacrés et d’anges disposées en deux cercles concentriques. Le peintre interprète ainsi à sa façon le rôle des OVNIS dans la bible.

Vierge à l’enfant de Domenico Ghirlandaio (vers 1470)

Vierge à l'enfant, Florence (vers 1470)

Dans ce tableau de la Madone bien connu un personnage et son chien dans l’arrière-plan observent une jolie soucoupe volante lumineuse.

 La Crucifixion de Jésus Christ, monastère de Deçani (16ème siècle) 

Decani

Monastère Deçani

Dans ce tableau extraordinaire du monastère de Deçani au Kosovo, deux hommes en engins volants lumineux se poursuivent dans le ciel.

 Annales Laurissenses – France ( 776 )

Annales Laurissenses - France ( 776 )

En 776, pendant le siège du château Sigiburg en France, les Saxons étaient assiégés par les Français. Pendant la bataille un groupe de disques apparu planant sur l’église. Les Saxons pensèrent que les français étaient protégés par ces objets et s’enfuirent.

 Annales Laurissenses – France ( 776 )

IV – LES DIEUX ET LEURS DRÔLES D’ENGINS

Le dieu assyrien Ahura Mazda (- 500)

Ahura Mazda perse soucoupe sumérienne

A gauche : Ahura Mazda, l’être de lumière dans un engin volant avec train d’atterrissage – A droite : les Annunakis, dieux volants assyriens, en balade dans le ciel

 L’extraordinaire dalle de Palenque (août 683, Mexique)

Cette dalle couvre le le sarcophage du roi maya Pacal, situé dans une crypte de la pyramide. Cette crypte est encombrée de stalactites, ce qui suffit à montrer l’ancienneté des lieux (voir Persée). La dalle fait 3,80 m sur 2,20 m. C’est une des plus étonnantes représentations indubitable d’un dieu pilotant un engin technologique. Pacal tient des manettes, assis dans un engin propulsé par une tuyère éjectant des flammes :

Roi Pacal - Palenque
Palenque 3

Là encore, pas un mot de Wikipedia dans l’article consacré au site de Palenque

Pour juger de la mauvaise foi de la science “officielle” (c’est-à-dire universitaire) voilà son interprétation prise dans un livre de Merle Greene Robertson, résumée ainsi par Jean-Loïc Le Quellec dans son site ufo-scepticisme :

Maintenant, vous choisissez la dalle de Palenque: c’est une bonne idée, car cette dalle est accompagnée de hiéroglyphes qui expliquent son image centrale. Il s’agit du couvercle de sarcophage de K’inich Janaab Pakal, roi Maya mort en 615 de l’ère commune, à l’âge de quatre-vingts ans. Ce sarcophage, découvert le 13 juin 1952 par Alberto Ruz Lhuillier, a été très étudié et sa signification réelle est bien connue.

Son décor représente le défunt roi K’inich Janaab Pakal le Grand et l’ensemble de son iconographie est en rapport avec la mythologie de l’au-delà chez les Maya – ce qui paraît assez logique pour une pierre tombale. Le roi, dont les restes se trouvaient sous cette dalle, est montré dans la position de celui qui va renaître dans l’autre monde, et il se trouve au-dessus de la gueule décharnée du monde terrestre, faite d’une mâchoire horizontale et de deux mâchoires supérieures de serpent placées verticalement. Devant lui se dresse l’arbre du monde au sommet duquel se trouve l’oiseau quetzal céleste, le serpent bicéphale du tiers supérieur, au corps arqué, qui est une image du ciel. Les bandeaux supérieur et inférieur comportent les têtes de trois personnages accompagnés de textes hiéroglyphiques qui les désignent comme serviteurs et amis proches du roi. Le texte inscrit tout autour de la dalle a pu être déchiffré : il indique les dates de naissance et mort du souverain, se réfère à ses parents, puis évoque les rois de Palenque qui l’ont précédé. On y apprend notamment que K’inich Janaab Pakal le Grand naquit le 8 Ahau 13 Pop (notre 26 mars 603), et qu’il mourut le 6 Edznab 11 Yax (31 août 683).

Je ne fais ici qu’un bref résumé d’après le livre de Merle Greene Robertson, The sculpture of Palenque. Vol. I : The Temple of the Inscriptions. Princeton : Princeton University Press, 1983, xxix-115 p., 256 pl.

Là-dedans, pas un mot d’explication sur l’aspect technologique, la tuyère, les flammes, le faisceau de câbles à l’avant, la position bizarre et très active pour un mort, l’aspect unique de ce bas-relief dont on ne trouve rien de ressemblant chez les Mayas par ailleurs, etc. “Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre”…

Les Olmèques (- 1 200, Mexique)

Quirigua au Guatemala

Soucoupe volante olmèque pilotée par un dieu, dans un bloc de pierre (- 100 environ)

tête négroïde olmèque (- 100)

D’où vient ce type négroïde représenté partout par les Olmèques ?

Etranges appareils volants du 20ème siècle sur les chapiteaux égyptiens d’Abydos (- 3000)

hélico et avions egyptiens (Abydos)

OVNI Egyptien 2

“Petits gris” et statuettes serpentiformes égyptiens

 ET Egyptiens 2  ET et Egypte

Statuettes ET égyptiennes

Statuettes égyptiennes représentant des femmes à tête de serpent (le serpent, emblème divin de toutes les mythologies), aux yeux obliques et latéraux, comme les E.T. d’aujourd’hui…

Monolithe d'Akapana avec écailles

Monolithe d’Akapana à Tiahuanaco avec les jambes couvertes d’écailles (Mexique) et le même chapeau que les statues de l’île de Pâques

Artefact alien Egypte

Artefact égyptien montrant des “Petits-Gris”

Vaisseaux spatiaux “classiques” et cosmonautes

Vaisseau (Toprakkale, Turquie) Crète

A gauche : Toprakkale en Turquie ( -500) – A droite : fusées crétoises

Fusées Hittite

Trois fusées Hittites (- 2000)

Ovni préhistorique

Impossible de retrouver l’origine de cette peinture rupestre trouvée sur le net…

La preuve que des dieux-serpents voyageaient sur toute la Terre dans des engins identiques :

Olmèque, la VentaDieu Hapy egyptien (voir Olmèque la Venta)   Serpent-arc-en-ciel-Ngalyod aborigène (-10 000)

A gauche : un dieu olmèque (Mexique) pilote un engin en forme de serpent
Au milieu : le dieu Hapy égyptien dans le même appareil (-380, temple d’Isis à Philae)
A droite : le dieu serpent Ngalyod aborigène australien

Olmèque, la Venta  Dieu assyrien avec sac et montre

A gauche : un dieu olmèque dans son engin volant tient un sac bizarre dans la main – A droite : les dieux assyriens volants tiennent le même dans leur main

Ovni Maya (+ 700)

Gravure Maya (+ 700 environ)

Les anciens cosmonautes

tassili fresque de Jabbaren (-6000) tassili 2

Val Camonica (10 000 ans avant JC)

Val Camonica (10000 ans Avant JC)

Êtres habillés, avec casques lumineux/auréoles tenant un étrange outil ou une arme

Les extraordinaires représentations explicites et “modernes” du passé

 Maya abduction

Artefacts Mayas montrant une abduction (enlèvement par des extra-terrestres)…

Madhya Pradesh en Inde (40 000 ans)

Peintures murales dans des caves à Madhya Pradesh en Inde (- 10 000)

AAA engin et pilote

Engin “maya”…

Les vimanas indiens

Les vimanas étaient les engins volants couramment utilisés par les rois et les dieux en Inde à la période védique (- 2000), dont parlent les livres sacrés comme le Mahabharata. Ils sont capables de “léviter”, marchent par “l’effet du mercure”.

Vimana d'Ellora, Inde Le Vimana Pushpaka de Râma

Le Vimana du roi Rama et de son épouse Sita

Le livre indien“Samarangana Soutradhara” contient un paragraphe extraordinaire : « sur une époque lointaine où des hommes sillonnaient les airs avec des vaisseaux aériens, et où des êtres célestes descendaient des cieux ».  Dans le Mahabharata, on trouve l’histoire du vimana de Salva qui était un grand véhicule militaire pouvant transporter des troupes et des armes et qui fut obtenu par Salva d’un expert en technologie non humaine nommé Maya Danava. Les Purdnas et le Mahabharata contiennent également de nombreux récits de plus petits vimanas, comprenant des appareils de loisir apparemment conçus pour un seul passager. Ils étaient généralement utilisés par les Devas et les Upadevas mais pas par des humains. Ces drôles de véhicules semblent être si fréquemment mentionnés dans le purdnas et le mahabharata que l’on peut penser que les avions étaient assez courants pour les gens de l’ancienne culture védique.

A son apogée, l’empire Rama s’étendait vers le nord de l’inde et le Pakistan il y a environ 12.000 ans. Les nobles voyageaient d’une cité à l’autre par les airs. Un texte daté du 8ème siècle avant JC dit que des chariots aériens étaient utilisés pour le transport normal et étaient appelés Pushpaka. Ils pouvaient emmener beaucoup de personnes d’une capitale à une autre. L’empire Rama était menacé par un ennemi utilisant ses propres machines volantes appelées Vailixi. Ces envahisseurs avaient une technologie plus évoluée que les Ramas et étaient appelés Asvins. L’appareil Vailixi avait la plupart du temps la forme d’un cigare, plus rond qu’un vimana, et pouvait voyager à travers l’eau aussi bien que l’air. Une capacité inconnue des véhicules de l’empire Rama. Les Ramas ont défendu leur empire avec des armes terribles qui possédaient une puissance destructive incroyable.

Gravure rupestre japonaise de l’île Jotuo

'île Jotuo dans lac Toengt'ing

Auréoles, soucoupes volantes individuelles et… fusils ! (reproduction artistique d’un relief)

Les étonnantes civilisations de l’ère préhistorique et leurs brutales disparitions…

Tout le monde connaît l’Egypte et ses pyramides dont on n’a toujours pas compris quelle technologie a permis leurs constructions. Mais il y a aussi Baalbek en Mésopotamie (- 3000), le pays de la Tour de Babel avec ses blocs de pierre taillée phénoménaux (la pierre Hadjar el Gouble : 1 200 tonnes !) impossible à déplacer aujourd’hui quels que soient les moyens utilisés. Mais il existe aussi des vestiges de cités sorties du néant pendant la préhistoire et qui y sont retournées sans explication.

mohenjo-daro plan

Plan de Mohenjo-Daro (- 3000)

Mohenjo-Daro, il y a 4 000 ans au Pakistan dans la vallée de l’Indus. Une énorme cité moderne qui sort du néant à l’âge du bronze, couvrant 200 ha, révélatrice d’une civilisation avancée protohistorique.

Le Mahabharata décrit un conflit entre dieux en Inde dans les alentours deMohenjo-Daro :

” Un éclair de fer, un messager gigantesque de la mort, qui réduisait en cendres une race entière de Vrishmis et les Andhakas……les corps étaient si brûlés qu’ils étaient méconnaissables, les cheveux et les ongles tombaient.

Les poteries se cassaient sans cause apparente, et les oiseaux devenaient blancs. Après quelques heures, toute la nourriture fut infectée….

…..Pour échapper à ce feu, les soldats se jetaient dans les ruisseaux, afin de se laver eux et leurs équipements…. 

Autre passage qui relate la chute d’une « coquille » étincelant comme le feu mais sans dégager de fumée : « Quand la coquille a touché le sol, le ciel est devenu obscur, les tornades et les tempêtes ont ravagé les villes. Une horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux, les réduisant en cendres. »

L’analyse moderne a confirmé que des fragments de la ville avaient fondu au contact d’une très haute température. Les douzaines de squelettes qui ont été trouvés dans la région de Mohenjo-Daro présentent une radioactivité excédant la norme de presque 50 fois…

V – CONCLUSIONS

De deux choses l’une : ou toutes ces représentations sont artificielles, destinées à interpeller les humains de l’époque moderne et il faut accepter que les extra-terrestres voyagent dans le temps, ou la Terre a réellement connu un lointain passé où sa science, aidée ou non par des visiteurs venus de l’espace, s’était hissée au-dessus de notre niveau… L’étrange dans cette hypothèse étant que cela n’a mené à rien puisque l’humanité est retombée dans l’ère préhistorique qu’elle venait de quitter. Sans cependant oublier les techniques acquises (agriculture, tissage, bâtiment, etc.). Pour départager ces deux hypothèses, il faudrait trouver les traces d’une civilisation très avancée sur la Terre, il y a environ 10 000 ans, qui aurait totalement disparu. Et c’est là que l’existence de Mohenjo-Daro dans le pays d’Eden, des Vimanas, des explosions nucléaires préhistoriques et de bien d’autres étranges découvertes fossilisées, prend tout son intérêt…

Première constatation : on ne peut plus nier que nous avons été visité tout au long de notre (pré)histoire et qu’il y a unanimité sur le fait que des dieux pilotaient des engins. Et ils “pilotaient” réellement ! Quel que soit l’endroit de la planète, on les montre fréquemment volant dans une machine le bras levé comme s’ils tenaient une manette :

Aleçon, 1790  Monastère Deçani Palenque 3

Ahura Mazda perse soucoupe sumérienne Olmèque, la Venta

Maya OVNILe Vimana Pushpaka de Râma

Deuxième constatation : les ovnis du passé sont souvent bruyants. Parfois même ils se font remarquer dans le ciel par des bruits terrifiants. Et souvent ils se combattent. Pas ceux de notre époque… Comme il s’agit visiblement de la même technologie et d’une science très en avance sur la nôtre existant depuis au moins 40 000 ans, on en déduit automatiquement qu’ils font exprès : à une époque où il n’y a pas de machines, donc pas de bruit, ils se signalent par le bruit. A notre époque technologique où toutes les machines font du bruit, leurs engins nous interpellent par un silence total…

Troisième constatation : à l’ère préhistorique les humains vivaient nus… Or, dans leurs représentations des pilotes d’ovnis, ils les ont souvent montrés portant des vêtements qu’on n’invente pas, très modernes, à la Bidendum, ressemblant aux combinaisons de nos propres astronautes ! C’est très étrange car ces êtres étaient en avance sur notre temps actuel et pas du tout obligés de s’habiller de cette façon contraignante. Circulant quotidiennement en soucoupes volantes, ils n’avaient pas besoin de se protéger du froid de l’espace comme le font nos astronautes dans leurs engins frustes et étroits. De même, les hélicoptères et avions d’Abydos sont des engins typiques du 20ème siècle. Les fusées de Palenque et de Toprakkale aussi. Ces machines n’avaient aucun intérêt face à la technologie des soucoupes volantes infiniment plus évoluées.

Quatrième constatation : les dieux-serpents, omniprésents dans les mythes et légendes des sociétés de toute la Terre sont abondamment représentés à peu près toujours de la même façon : une mince silhouette humaine, de grands yeux obliques et noirs, une face étroite et allongée, parfois une peau écailleuse. Une tête de serpent… Ils ressemblent tout à fait à nos “petits gris”, ces extra-terrestres qui sortent parfois des soucoupes volantes (apparitions du 3ème type)  ! Il semble donc que nous soyons visités depuis toujours par les mêmes êtres, dont on peut se demander quel but ils poursuivent. Peut-être, comme le racontent nos légendes, furent-ils à l’origine des civilisations disparues, créèrent la race humaine et nous insufflèrent nos technologies. Dans ce cas, peut-être continuent-ils à orienter notre évolution aujourd’hui. Ce serait bien dommage car c’est la meilleure façon de tuer notre créativité et notre originalité (voir “Tristes tropiques” de Levy Strauss). Au début, dit la Bible, dans le jardin d’Eden “les Elohim trouvèrent que les filles des hommes étaient belles et parmi celles qu’ils avaient prises ils en choisirent pour femmes. De leur union naquirent ces géants qui furent les héros de l’antiquité“… Hélas, un dieu-serpent désireux de les faire progresser leur transmit la science des dieux. Il les rendit ainsi capables de “faire le bien comme le mal”. Les hommes commencèrent à développer leurs propres machines et à créer des édifices colossaux (grâce à l’anti-gravité ?). Alors les Elohim dirent “voici que l’homme est devenu comme l’un de nous pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement.” Car vous le savez, les dieux, eux, sont éternels… Ils furent expulsés d’Eden où ils coexistaient avec les Elohim. Hors du jardin d’Eden, les terriens (Adam = “issu de la Terre”) qui reçurent des Elohim la vie (Ève = “la vie”) perdent chacun leur « peau brillante et écailleuse » (celle de leurs créateurs serpentiformes ? des vêtements modernes brillants ?) et “virent qu’ils étaient nus”. Ils se rassemblèrent alors pour s’habiller et reconstituer la science des dieux : la fameuse Tour de Babel (à Baalbeck !). Effrayés, les Elohim furent contraints de constater :

Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c’est là ce qu’ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté. Allons! descendons, et là confondons leur langage, afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres. Et ils les dispersèrent loin de là sur la face de toute la terre; et ils cessèrent de bâtir la ville.

Voilà qui expliquerait pourquoi des monolithes de 1 200 tonnes sont restés dans leurs carrières  à Baalbeck et Assouan. Et voilà pourquoi toutes les mythologies ont une origine commune…

Pourquoi de telles informations évidentes ne circulent-elles pas davantage ? A cause du refus permanent de nos “élites” scientifiques de parler de ce qui les dérangent (sauf Jean-Pierre Petit avec les Ummites et la MHD, mais ça lui a coûté cher !). On ne peut pas compter sur eux pour être informés des découvertes qui heurtent le sens commun. Cet abandon de la science officielle engendre l’existence d’une science parallèle qui comble les vides, véhiculée par Internet, qui n’a pas toujours les outils voulus pour vérifier les informations, ni l’esprit très critique.

Jean-Philippe de Lespinay                                                                                                                            Mars 2015

PS : Petite discussion entre Jean-Philippe de Lespinay et un groupe de sceptiques suite à son exposé sur les OVNI du passé : “Au secours, Däniken revient !

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